Tout savoir sur les allergies à la lessive et comment les éviter

Si vous avez la peau sensible, vous savez déjà probablement qu’il faut faire attention aux produits d’hygiène et aux cosmétiques que vous utilisez. Mais aviez-vous déjà pensé que les démangeaisons et les rougeurs sur votre peau pouvaient aussi provenir de votre lessive ? Eh oui, si vous lavez vos vêtements avec une lessive qui contient des substances allergènes, ces dernières peuvent entrer en contact avec votre peau, et ce n’est jamais un plaisir… Cela est vrai pour les adultes qui ont une sensibilité particulière à certains ingrédients, mais aussi chez le bébé et le jeune enfant, dont la peau est plus fragile.
C’est pourquoi il est important de choisir une lessive adaptée. Oui, mais comment ? C’est ce que l’on va vous expliquer.

Comment savoir si vous faites une allergie à la lessive ?

Comme beaucoup d’autres allergies, celle à la lessive entraîne des réactions cutanées diverses et variées. Voici les principaux signes qui peuvent indiquer une allergie à votre lessive ou à votre adoucissant

 

  • des démangeaisons, qui apparaissent quel que soit le type de vêtements portés (et pas seulement parce que vous portez un pull en laine sur la peau nue par exemple) ;
  • de petites rougeurs ou des plaques plus étendues sur les zones en contact avec les vêtements ;
  • une sécheresse accrue de la peau
  • des boutons et de l’eczéma, etc.

 

Ce sont des symptômes que vous pourrez constater également chez votre nourrisson, qui pourra aussi montrer des signes d’agitation, un sommeil plus perturbé que d’ordinaire, etc.

 

En cas de doute, n’hésitez pas à consulter un dermatologue ou un allergologue. Il pourra vous en dire plus sur les causes de l’allergie et vous donner des traitements et conseils pour calmer l’inconfort, le temps que vous trouviez une lessive plus adaptée à votre peau.

Les allergies à la lessive, d’où viennent-elles ?

Une allergie à la lessive se déclenche généralement de deux manières : soit lorsque votre peau entre en contact avec le produit au moment de remplir le bac à détergent par exemple, soit lorsque vous portez le linge qui a été lavé avec la lessive. Le risque est d’autant plus important si le rinçage est mal effectué, puisque les résidus de lessive ne sont alors pas bien éliminés (ex : quand vous mettez plus de linge dans la machine qu’elle ne peut en accepter ou si l’un des composants de la machine est encrassé ou endommagé).

 

Mais pourquoi donc est-il possible de faire des allergies aux produits d’entretien du linge, lessive comme assouplissant ? La réponse est assez simple sur le principe : parce que beaucoup de lessives conventionnelles en poudre en capsules ou liquides contiennent des substances allergènes. Ce ne sont pas des ingrédients qui vont fatalement créer des allergies chez tout le monde, mais ils sont potentiellement à l’origine d’une réaction allergique.
Ce qui pourra peut-être vous surprendre, c’est qu’il n’y a pas que des produits chimiques qui peuvent être allergisants. Une personne peut notamment être allergique à une certaine huile essentielle, qui est pourtant tout à fait naturelle. Reste que ce sont quand même majoritairement les substances chimiques et de synthèse qu’il faut éviter pour limiter le risque d’allergie. On compte parmi elles des parfums et des conservateurs, mais aussi des produits pour préserver le blanc du linge ou encore des colorants. 

 

Et ici, on ne vous parle que des risques allergiques, mais il ne faut pas oublier que certains agents allergènes sont aussi potentiellement nocifs pour la santé de manière plus globale.

Comment éviter une réaction allergique à une lessive ?

La crise d’urticaire et l’apparition de plaques à chaque fois qu’on porte son pull préféré, c’est terminé ! Il existe en effet plusieurs solutions pour mettre fin aux réactions allergiques causées par les lessives.

Regarder la liste des ingrédients : pas toujours aussi simple

Si vous ou votre bébé semblez faire une réaction allergique à la lessive, on pourrait vous conseiller de consulter la composition des lessives pour choisir celle qui vous convient. Seulement, pour déchiffrer certaines listes d’ingrédients, il faut parfois s’accrocher. Entre une liste à rallonge et des noms incompréhensibles, ça peut être une vraie corvée. Et puis, encore faut-il savoir quel ingrédient allergène vous pose problème pour pouvoir l’exclure de vos achats de lessive. Bref, c’est une option, mais pas la meilleure.

Faire sa lessive maison : une idée à envisager

Puisque la plupart des agents allergisants sont des substances chimiques et des huiles essentielles, alors il est possible de les éviter en fabriquant une lessive maison liquide ou en poudre dont vous maîtrisez la composition. Vous réduisez en effet radicalement les risques d’allergie en préparant un produit pour le lavage du linge qui contient des ingrédients d’origine naturelle comme le savon de Marseille, le savon noir, le bicarbonate de soude, etc.
Il en va de même avec l’adoucissant, qui est lui aussi un produit à fort potentiel allergène. Remplacez-le par exemple par du vinaigre blanc pour assouplir votre linge.

Choisir une lessive hypoallergénique : la meilleure solution

Vous n’avez pas envie de réaliser des recettes maison de lessives ? Vous cherchez un produit qui vous assurera de ne risquer aucune allergie ? C’est pour cela qu’il existe la lessive hypoallergénique. En poudre ou liquide, elle est conçue pour minimiser le risque de réaction allergique (en gardant à l’esprit que le risque zéro n’existe pas).

 

Chez SPRiNG, toutes nos lessives sont douces pour la peau et ne contiennent pas de matières controversées, pas de conservateurs et pas d’allergènes. Pour les peaux sensibles, nous avons même développé une formule Douceur & Soin au parfum fleuri, ainsi qu’une formule sans parfum, toutes les deux ont été testées sous contrôle dermatologique et validées pour les peaux sensibles.
Après chaque lavage, vous profitez d’un linge propre, aux couleurs et au blanc préservés, sans les désagréments d’une réaction cutanée ou d’une peau qui gratte.

Ne contenant pas de substances controversées, nos capsules sont par ailleurs exemptes de perturbateurs endocriniens, d’allergènes étiquetables et de produits cancérogènes. C’est donc aussi moins de risques pour votre santé et celle de votre bébé ou de votre enfant.


Comment faire un tawashi en 10 minutes ?

Motivée par les ateliers DIY ? Envie de vous engager un peu plus dans le zéro déchet ? On a donc une super activité pour vous : la réalisation d’un tawashi. Le tawa…quoi ? Pas d’inquiétude, on va vous expliquer de quoi il s’agit et quelle est la méthode classique pour le fabriquer vous-même en quelques minutes, avec des accessoires et ustensiles dont vous disposez à la maison.

Le tawashi, késako ?

Pour faire simple, le tawashi est une éponge, fabriquée à partir de tissu de récupération. Tout comme le furoshiki (emballage en tissu), c’est un produit qui nous vient du Japon et que l’on pourrait traduire comme “brosse à laver”.

 

Du fait de sa composition, elle diffère des éponges que l’on a l’habitude d’utiliser et qui sont le plus souvent fabriquées à partir de plantes, de cellulose ou de matières synthétiques. D’ailleurs, si vous voulez devenir incollable sur les éponges, on y a consacré tout un article !

 

Mais revenons à notre sujet : le tawashi. Vous aurez compris que c’est un mélange d’éponge et de chiffon à laver. Comment pouvez-vous l’utiliser ? À vrai dire, comme n’importe quelle autre éponge classique. Le tawashi peut servir à faire la vaisselle, à nettoyer les vitres, pour l’entretien de la cuisine et de la salle de bain, pour laver l’intérieur de la voiture, etc.

Pourquoi vous lancer dans la fabrication d’un tawashi ? 

Il y a d’abord un côté ludique à fabriquer une éponge tawashi, car il faut tisser de vieux vêtements pour la confectionner. Celles et ceux qui sont déjà adeptes de crochet ou de tricot vont s’en donner à cœur joie ! 

 

C’est également un accessoire écologique, pour plusieurs raisons : 

 

  • c’est une manière d’utiliser des chaussettes usées ou d’autres vieux vêtements, qui n’auraient pas tardé à rejoindre la poubelle ;
  • le tawashi, puisque composé de tissu, est lavable en machine ou au lave-vaisselle et il est réutilisable, contrairement aux éponges jetables qui ont une durée de vie limitée et qui génèrent des déchets ;
  • c’est une éponge qui remplace votre éponge classique, ce qui sera d’autant plus écologique si vous aviez l’habitude d’utiliser des éponges synthétiques.

 

Pour les mêmes raisons, la fabrication et l’utilisation d’un tawashi se révèlent aussi économiques. Un peu comme toutes les astuces DIY d’ailleurs !

Quels accessoires faut-il pour réaliser votre éponge tawashi ?

Avant de faire votre premier tawashi à l’aide d’un tuto, il va falloir vous équiper de quelques éléments.

 

Il y a d’abord les matières premières, c’est-à-dire le tissu de récupération. Il peut aussi bien s’agir de chaussettes que de t-shirts, de collants épais, etc., avec idéalement une matière qui n’est pas trop rêche et qui dispose d’une certaine élasticité.

 

Ensuite, pour confectionner votre éponge zéro déchet, vous devrez confectionner un métier à tisser. Pas d’inquiétude, il n’y a rien de sorcier là-dedans, et vous n’aurez besoin que d’une planche de bois ou d’un carton épais, de ciseaux, de clous, d’un marteau et d’un instrument de mesure (de type mètre de bricolage, mètre ruban, ou même une règle). En somme, que des objets dont vous disposez à la maison ou que vous pouvez vous procurer à petit prix.

 

Ça y est, vous êtes équipé ? Alors, on passe à l’étape du tutoriel !

Quelles sont les principales étapes de la réalisation ?

La première étape est de fabriquer votre petit métier à tisser, qui sera réutilisable si vous voulez fabriquer d’autres éponges tawashis de la même taille. Voici la méthode la plus couramment utilisée, qui a l’avantage d’être simple et rapide : 

 

  • découpez un carré dans le bois ou le carton ;
  • tracez un trait au crayon sur chaque côté du carré, à environ 1 cm du bord, en espaçant les traits d'environ 2 cm ;
  • plantez des clous sur chacun des traits dessinés, en évitant les 4 coins du carré. 

 

Voilà, le métier à tisser et prêt. On vous l’avait dit, c’est facile. 

 

Place maintenant à l’étape de la découpe du tissu. Il faudra veiller à choisir des vêtements suffisamment longs pour être accrochés entre deux clous de chaque côté du carré. Ce n’est pas clair ? Autrement dit, si vous avez tracé un carré de longueur 20 cm, vos bandes de tissu devront être un peu plus petites (de 10 à 15 cm), avec une longueur plus ou moins grande en fonction de leur élasticité. Quant à la largeur, comptez entre 2 et 3 cm.
Après avoir pris les mesures sur les manches de vos vieux vêtements, votre legging usé ou vos chaussettes, découpez des bandelettes à l’aide de ciseaux. Attention, il ne faut pas découper de simples bouts de tissu, mais bien des bandes qui forment un trou (comme un bandeau en somme). C’est pourquoi on préconise par exemple des manches de T-shirts, une chaussette ou des collants.
Si ce n’est pas parfaitement droit en revanche, aucune importance. L’astuce pour un tawashi réussi, c’est de bien tisser et de serrer ni trop, ni trop peu.

 

Justement, le tissage, comment ça se passe ? Vous allez dans un premier temps placer une rangée de bandelettes de tissu à la verticale ou à l’horizontale, en les faisant passer dans un clou puis dans le clou opposé. Jusque-là, c’est un jeu d’enfant. C’est ensuite que vous allez commencer à vraiment tisser, en plaçant les bandelettes dans le sens opposé. Il faut alors passer la première bandelette dessus, dessous, dessus, dessous, etc. la bandelette déjà en place. Autrement dit, vous croisez les tissus qui sont à la verticale avec ceux qui sont à l’horizontale. Pensez à alterner : si pour la première bande, vous avez commencé en passant au-dessus, faites le contraire avec la deuxième bande en passant en dessous, puis au-dessus, etc.

 

Et quand chaque boucle est du tawashi est prête, il faut réaliser son contour. Prenez alors une boucle d’un côté, puis faites passer la boucle voisine dedans, et ainsi de suite, jusqu’à ne laisser qu’une seule boucle libre. Celle-ci vous servira par exemple pour accrocher votre tawashi dans la cuisine ou pour le tenir.

Si malgré ce tuto, certaines étapes ne vous semblent pas très limpides, vous pouvez toujours consulter une vidéo en ligne. Vous comprendrez alors mieux de quelle manière passer les bandes de tissu et avec quelle intensité serrer les boucles, pour réaliser votre éponge maison zéro-déchet en quelques minutes, sans que cela vous donne du fil à retordre ;) !


Faire ses pastilles de lave-vaisselle maison

Fabriquer des pastilles pour lave-vaisselle chez soi, encore une lubie des fans du DIY ? En réalité, il y a plusieurs avantages à choisir cette option, mais encore faut-il savoir quels ingrédients utiliser et quelle recette suivre. Puisqu’on est de bonne humeur, on va vous donner notre avis sur le sujet et nos astuces pour votre futur atelier “préparation de tablettes lave-vaisselle maison”.

Pourquoi se lancer dans la fabrication de pastilles de lave-vaisselle ?

Comme avec beaucoup de recettes DIY (liquide vaisselle, lessive, liquide de rinçage, produit multisurface pour le ménage, etc.), les mêmes arguments reviennent pour en faire la promotion : moins de plastique, moins de dépenses et moins d’ingrédients chimiques et/ou controversés.

Adopter une démarche zéro déchet

Ce n’est pas un scoop : la très grande majorité des capsules et tablettes de lave-vaisselle conventionnelles (ou même bio) sont conditionnées individuellement dans un emballage plastique. Certes, il fond une fois dans l’appareil, et on le présente parfois comme “biodégradable” (bien que l’usage de ce terme soit désormais interdit), mais le plastique est bien présent et finit sa course dans les canalisations et les eaux usées. Il vaut donc mieux privilégier des doses de produit vaisselle sans film ou avec un film sans danger pour l’environnement.
Parfois, c’est même la boîte elle-même qui est en plastique. Pour faire sa vaisselle de façon plus écologique, il est alors préférable de choisir un emballage carton ou du fait maison.

 

Faire des tablettes de lave-vaisselle maison, c’est effectivement pouvoir tendre vers du zéro déchet en évitant ces emballages plastiques. Les recettes requièrent en effet des produits qui peuvent être vendus dans des contenants en carton, en verre, ou mieux encore, en vrac. Et une fois les pastilles prêtes, il suffit de les conserver telles quelles dans un bocal, sans avoir besoin de suremballage.

Faire des économies sur ses produits ménagers

Avez-vous déjà calculé combien vous coûtent vos tablettes de lave-vaisselle chaque année ? Faites-le, et réalisez ensuite un comparatif avec les produits dont vous aurez besoin pour des pastilles maison. Vous verrez que vous économiserez plusieurs centimes à chaque lavage, et donc potentiellement des dizaines d’euros par an. Pas énorme nous direz-vous, mais c’est toujours bon à prendre !

Éviter les substances potentiellement nocives pour la santé et la planète

Comme dans beaucoup de produits d’entretien conventionnels, les tablettes de lave-vaisselle du commerce peuvent contenir une longue liste de substances dont le caractère écologique et sain est plus que discutable. Avec la pastille faite maison, l’avantage est que vous maîtrisez la composition, et que vous ne pouvez utiliser que des ingrédients d’origine naturelle.

Comment faire ses propres tablettes pour lave-vaisselle ?

Venons-en à la pratique : la recette pour confectionner vos pastilles de lave-vaisselle. D’abord, listons les ingrédients, avec à dose égale (comptez 60 grammes de chaque pour environ 20 tablettes) : 

 

  • des cristaux de soude, pour leurs propriétés anti-calcaire, et donc anti-traces, et dégraissantes ;
  • du bicarbonate de soude, pour réduire la dureté de l’eau (anti-traces), nettoyer, etc.  ;
  • de l’acide citrique, anti-calcaire et détachant ;
  • du gros sel, qui permet lui aussi de nettoyer la vaisselle et d’obtenir une eau avec une plus faible teneur en calcaire.

 

Ensuite ? Mélangez l’ensemble de ces poudres et cristaux, et ajoutez petit à petit de l’eau. Une fois que le mélange se solidifie et vous permet de former une pâte, il est temps de former vos pastilles. L’astuce la plus couramment utilisée est de prélever un peu de la poudre obtenue avec une cuillère à soupe ou à café, puis de la placer dans un bac à glaçons. Tassez ensuite avec le dos de la cuillère, pour qu’une fois prise, la poudre forme une tablette compacte. 

 

Il faut ensuite laisser sécher pendant une journée, puis les pastilles peuvent être retirées du bac à glaçons, et stockées dans un bocal en verre par exemple.

 

Et pour l’utilisation ? Vos pastilles maison fonctionnent de la même manière que des pastilles classiques : placez une dose dans le compartiment dédié et lancez le cycle de lave-vaisselle.

Les pastilles faites maison sont-elles aussi efficaces ?

Comme pour une recette de lessive au savon de Marseille ou un adoucissant naturel au vinaigre blanc, la question de l’efficacité des tablettes maison se pose. Peut-on vraiment atteindre les mêmes performances que des pastilles du marché lorsque l’on utilise uniquement de l’acide citrique, des cristaux de soude, du bicarbonate de soude et du gros sel ? La réponse est en demi-teinte. Certes, votre pastille maison va nettoyer la vaisselle, mais il se peut qu’elle ne soit pas 100 % efficace sur des taches incrustées. Il se peut aussi que vous ayez besoin de faire quelques ajustements pour disposer d’une efficacité optimale, surtout si vous aviez l’habitude d’utiliser des pastilles tout-en-un (choix du type de cycle de lavage, quantité de vaisselle dans l’appareil, fréquence de remplissage du compartiment de liquide de rinçage, etc.).

 

Mais d’où vient cette différence ? En réalité, comme pour la lessive liquide ou la lessive en poudre par exemple, les fabricants utilisent des produits bien spécifiques pour les pastilles de lave-vaisselle, qui ne sont pas forcément accessibles au grand public. Trouver la bonne recette nécessite aussi beaucoup de recherches et un dosage précis, qu’il n’est pas vraiment possible d’obtenir avec une préparation que l’on fait à la maison.

Et si vous adoptiez les pastilles clean de SPRiNG ?

Si vous souhaitez allier l’efficacité et une composition sans matières controversées, sans avoir à tester plusieurs recettes de pastilles DIY, on a la solution : notre tablette lave-vaisselle tout-en-un. En quoi est-elle différente des autres ? Elle contient tous les ingrédients nécessaires pour être efficace sans laisser de traces, mais pas de matières controversées. Et puisqu’une tablette SPRiNG est particulièrement concentrée, elle nécessite moins de matières premières pour obtenir le produit fini.
Sans oublier le conditionnement de nos pastilles : elles vous sont livrées dans une boîte en carton, avec 35 doses entourées d’un film entièrement hydrosoluble.
Dernier bonus : si vous vivez dans une région peu calcaire, l’utilisation de nos tablettes vous dispense de l’utilisation de sel régénérant et de liquide de rinçage. En revanche, n’oubliez pas l’entretien régulier de votre lave-vaisselle si vous voulez qu’il conserve ses performances et qu’il dure longtemps. Nettoyez régulièrement la cuve, le filtre, les bras de lavage, les joints, etc., à l’aide de vinaigre blanc ou d’un produit polyvalent pour le ménage.


Comment sont fabriquées les éponges ? 

Accessoire incontournable pour faire la vaisselle, nettoyer la cuisine et la salle de bain ou encore pour l’hygiène corporelle, les éponges sont des produits que l’on utilise dans la vie quotidienne. Et pourtant, on ne sait pas toujours de quoi elles se composent. 

Entre l’éponge naturelle et l’éponge synthétique, la version jetable et la version lavable, il y a en réalité une multitude de méthodes de fabrication. Et toutes les éponges n’ont pas la même durée de vie ni le même impact sur l’environnement. On vous en dit plus sur les matériaux et les procédés de fabrication des éponges (on sait que vous rêviez de devenir incollable à ce sujet !).

L’éponge animale : l’éponge originelle et naturelle

À l’origine, l’éponge est une espèce animale, que l’on retrouve dans presque tous les mers et océans du monde. Du fait de leur pouvoir d’absorption naturelle, elles sont utilisées depuis de nombreux siècles pour le nettoyage ménager et l’hygiène. 

Avant d’obtenir l’éponge telle qu’on la connait dans nos foyers, il faut passer par plusieurs étapes. D’abord, il faut savoir que ce sont les squelettes des éponges marines qui sont utilisées. Ensuite, plusieurs types de traitements peuvent être appliqués, afin de les rendre plus molles et adaptées à l’utilisation que l’on en a.

Si l’on part d’un produit naturel (un animal, CQFD), il faut donc le faire passer par plusieurs traitements chimiques. Sans compter que les défenseurs de la cause animale ne sont clairement pas en faveur de l’utilisation de ce type d’éponge.

Les éponges végétales : d’autres alternatives naturelles

Dans un souci d’économie, de protection des animaux ou encore pour disposer d’un produit plus résistant, on a vu se développer les éponges végétales. Certaines d’elles sont désormais très populaires, comme l’éponge konjac, particulièrement appréciée pour sa douceur et donc idéale pour l’hygiène des bébés, mais aussi des enfants et des adultes. Comment la fabrique-t-on ? À partir de la racine de la plante asiatique qu’est la Konjac, réduite en poudre, puis mélangée à de l’eau, avant d’être solidifiée et de passer par plusieurs traitements thermiques.

 

Un autre végétal couramment utilisé pour confectionner des éponges est le luffa, une plante grimpante qui vient d’Afrique et d’Asie. C’est à partir du fruit que l’on fabrique l’éponge : on le laisse sécher, puis on extrait les graines et la pulpe, pour ne conserver ensuite que la partie fibreuse qui servira d’éponge. Avec un peu de motivation, vous pouvez donc confectionner vous-même vos éponges luffa, en les cultivant et en les récoltant à la maison ! Elles sont surtout utilisées pour faire la vaisselle ou le ménage, mais peuvent également être de bons exfoliants pour la peau.

 

On retrouve également de plus en plus d’éponges fabriquées à partir de végétaux non traités et/ou sans agents chimiques, tels que le lin, le bambou, le coton bio, la toile de jute, etc. Elles peuvent ainsi disposer d’une face absorbante et d’une autre face abrasive, en fonction des matières utilisées. Ce genre d’éponge est généralement lavable et réutilisable, et fait donc partie des accessoires zéro déchet incontournables.

L’éponge artificielle : végétale, mais parfois avec des additifs

L’éponge végétale à base de cellulose (provenant du bois et du coton) est la version la plus classique, celle que l’on retrouve majoritairement dans les rayons des magasins. Il s’agit bien d’une éponge d’originale végétale au départ, mais qui nécessite des traitements chimiques pour obtenir le produit final, et bien souvent d’autres fibres, ainsi que du sel pour créer artificiellement les trous de l’éponge. 

Heureusement, il existe aussi des éponges artificielles qui sont conçues sans colorant et avec un maximum d’ingrédients d’origine naturelle, comme les éponges SPRiNG. Et si vous avez à cœur de préserver l’environnement à votre manière, notamment via le zéro déchet, ce type d’éponge est une bonne solution lorsqu’elle est proposée en version lavable. Lavable, vous dites ? Oui, il suffit de la passer en machine ou au lave-vaisselle selon les recommandations du fabricant, et elle sera de nouveau (presque) comme neuve. 

L’éponge synthétique : la pétrochimie au cœur du processus de fabrication

Parmi les éponges les moins coûteuses et les plus résistances, il y a également celles fabriquées à partir de produits de synthèse, dérivés du pétrole. Rien qu’à la lecture de ces éléments, on comprend bien que les éponges synthétiques n’ont rien d’écologique, qu’elles sont potentiellement nocives pour la santé, et elles sont en plus jetables. Autrement dit, après quelques semaines d’utilisation, il n’y a qu’une seule issue : la poubelle. Elles restent toutefois très utilisées, notamment du fait de leur prix et de leur efficacité.

L’éponge tawashi : un produit DIY à base de tissu

Dans la tendance zéro déchet et récup’ qui gagne du terrain en France, une autre forme d’éponge DIY commence à voir le jour : l’éponge tawashi. Vous n’en avez jamais entendu parler ? Sa fabrication vous demandera un peu de temps, mais cette éponge a l’avantage d’être économique et écologique, car elle peut se fabriquer à la maison avec du tissu de récupération. Chaussettes trouées, t-shirt délavé ou encore robe devenue trop petite : il est possible d’utiliser tous types de vêtements et de linge pour faire une tawashi. Il vous faudra alors fabriquer un petit métier à tisser maison, puis suivre les conseils que vous trouverez sur notre page dédiée à l’éponge tawashi ou via des tutos en ligne.

C’est un type d’éponge qui convient pour le ménage dans toute la maison : pour nettoyer la salle de bain, pour faire les vitres, pour faire la vaisselle, etc. En somme, elle a les mêmes usages qu’une éponge classique, à cela près qu’elle est plus durable, dans les deux sens du terme. Durable sur le plan environnemental, parce qu’elle est issue de tissu qui était destiné à la poubelle, et durable sur le plan de la durée de vie, car elle est facilement lavable en machine et réutilisable.


Lessive maison : ce qu'elle doit contenir pour être vraiment efficace

Face à l’augmentation des prix et à la préoccupation écologique, de nombreux Français décident de réaliser leur propre recette de lessive et de se passer des produits du commerce. Fausse bonne idée ? Tout dépend de la façon dont elle est préparée, car les ingrédients choisis et leur dosage vont avoir une influence sur l’efficacité de la lessive. 

De plus, il faut savoir qu’il existe plusieurs recettes, en fonction du type de textile, des types de taches et de leur ténacité. Alors, trop complexe ? La réponse est non, c’est à votre portée et on vous explique quels sont les ingrédients indispensables à la préparation d’une lessive maison efficace.

Du savon, pour son pouvoir détergent 

Dans toutes les recettes de lessives que vous pouvez trouver en ligne, vous verrez du savon de Marseille, du savon noir ou encore du savon d’Alep (à l’huile d’olive et à l’huile de laurier). Certains utilisent même du savon confectionné à partir d’huile de coco.
Le savon est en effet un ingrédient important dans une lessive, car il est détergent. Pour le dire plus simplement : le savon se fixe aux saletés sur le linge et permet ensuite de les éliminer par dissolution.

 

Dans votre lessive maison, privilégiez toujours l’utilisation de savons en paillettes (ce sont de petits copeaux, rien à voir avec du maquillage pour une soirée disco) ou soigneusement râpés par vos soins à partir de copeaux ou d’un savon entier. Si vous utilisez de trop gros morceaux de savon de Marseille, de savon d’Alep ou de savon noir, le risque est qu’ils se dissolvent mal dans la formule, qu’ils durcissent et qu’ils encrassent la machine. L’autre possibilité est de choisir un savon authentique au format liquide, plus facile à intégrer dans votre recette.

Le bicarbonate de soude, pour son effet désodorisant et détachant

Dans les recettes de lessives liquides ou en poudre, l’un des autres produits naturels phares est le bicarbonate de soude. On l’utilise d’ailleurs partout dans la maison, pour dégraisser, désodoriser, détacher, etc.

 

Son rôle est de désincruster les taches, mais aussi d’éliminer les mauvaises odeurs. Cela ne vous empêche pas d’intégrer également une petite quantité d’huiles essentielles dans la recette, pour apporter une odeur agréable (une dizaine de gouttes d’huile pour un litre de lessive). Toutefois, les huiles essentielles, bio comme conventionnelles, ne rendront pas la lessive plus efficace. Elles sont là pour apporter leur parfum, et éventuellement leurs propriétés antibactériennes.

 

Pour une action encore plus puissante contre les taches d’huile, d’herbe, de sang, etc., par exemple dans la préparation d’une lessive spéciale pour les vêtements des enfants ou pour les tenues de bricolage, il est possible de remplacer le bicarbonate de soude par quelques cuillères à soupe de cristaux de soude dans votre recette. 

Le percarbonate de sodium, pour son action désodorisante et blanchissante

Le percarbonate de soude ne doit pas être utilisé dans toutes les recettes DIY de lessive. On le déconseille à tout prix pour le linge sombre, qu’il aura tendance à décolorer.

 

En revanche, c’est un produit naturel très intéressant pour un effet détachant et désodorisant sur les vêtements blancs et de couleur claire. Le percarbonate de sodium est même reconnu pour redonner de la blancheur et de l’éclat à du linge terni par le temps ou décoloré.

De l’eau, pour la dissolution de tous les ingrédients

Si vous optez pour la version lessive liquide, il vous faudra également de l’eau. C’est en effet l’eau qui va permettre d’obtenir une lessive homogène et avec une texture qui ne soit pas trop visqueuse. 

 

Dans la préparation de la recette, c’est d’ailleurs de l’eau dont on se préoccupe en premier lieu. Pourquoi ? Parce qu’il faut dans un premier temps la faire chauffer, afin que les copeaux râpés ou les paillettes de savon puissent bien se dissoudre, tout comme les cristaux et les poudres. Ajoutez tous vos ingrédients, mélangez, puis après dissolution complète, versez votre lessive dans un ancien bidon, un bocal ou une bouteille en verre.

Le vinaigre, en remplacement de l’adoucissant en bidon

Vous verrez parfois des recettes DIY dont la liste d’ingrédients inclut à la fois du bicarbonate de soude (pour détacher et désodoriser) et du vinaigre blanc, pour adoucir. Le problème est que la combinaison de ces deux actifs crée une réaction qui annule leur efficacité respective. Et qui risque bien de transformer votre cuisine en bain moussant par la même occasion. 

 

Ce qu’on peut donc vous conseiller, c’est d’inclure le bicarbonate dans la lessive et d’utiliser le vinaigre blanc comme adoucissant. Versez-en un bouchon dans le bac dédié de la machine, et il fera son travail lors du cycle de rinçage, en adoucissant l’eau et en détendant les fibres du linge.

Des ingrédients efficaces, mais qu’en est-il du produit final ?

Tous les ingrédients que nous vous avons présentés ont une réelle efficacité, qu’il s’agisse des cristaux de soude, du savon de Marseille, du savon d’Alep ou encore du vinaigre blanc. On leur prête également une vertu écologique, en comparaison des lessives conventionnelles contenant des produits chimiques et parfois controversés.


Toutefois, il faut savoir que pour qu’une lessive liquide ou en poudre soit très efficace sans risque d’endommager la machine, cela demande des années de recherche, des dosages très précis, des tests et des ingrédients que l’on ne retrouve pas dans le commerce. Si une lessive maison peut donc effectivement bien laver votre linge, elle ne peut généralement pas atteindre les performances d’une lessive fabriquée par un professionnel. Rassurez-vous, cela ne signifie pas pour autant qu’il faut sacrifier votre engagement écologique et votre volonté d’éviter les substances nocives.

La lessive SPRiNG : l’alternative clean et efficace à la lessive maison

Alliant efficacité même à basse température, composition clean, utilisation pour le blanc et les couleurs, le tout conditionné dans une boîte sans plastique, les capsules SPRiNG peuvent être la réponse à vos préoccupations concernant la lessive. Vous ne trouverez en effet aucune matière controversée dans nos formules, tout en profitant d’un linge propre à chaque lavage

 

Sous forme de capsules, nos lessives ont l’avantage de vous assurer un dosage juste (une capsule = un lavage en machine), là où il n’est pas toujours évident de savoir quelle quantité utiliser avec votre bouteille de lessive liquide. Et plus besoin de trouver la place pour stocker des litres de lessive : vous disposez d’une petite boîte qui peut contenir jusqu’à 42 capsules.

À vous de choisir entre un parfum frais, une odeur de citronnelle, une formulation pour le linge délicat ou même une lessive sans parfum, idéale pour les peaux sensibles.


Quels produits dois-je mettre dans mon lave-vaisselle ? 

Pour bien nettoyer et rincer la vaisselle, mais aussi pour avoir une durée de vie optimale, votre lave-vaisselle a besoin de plusieurs types de produits, et pas uniquement de détergents.
Chacun a son propre rôle et aucun ne doit être négligé. Rien de bien compliqué là-dedans : il suffit de savoir quel produit utiliser et à quel moment. Généralement votre lave-vaisselle vous fait savoir quand c’est le bon moment, à l’aide de voyants et autres alertes sonores. Nous, de notre côté, ce qu’on peut faire, c’est vous donner quelques conseils sur les types de produits à privilégier et leur usage. Suivez le guide !

Le produit détergent : pour nettoyer la vaisselle 

Pour le nettoyage de la vaisselle comme pour celui du linge, vous avez besoin de détergents. Autrement dit, de produits qui nettoient grâce à la dissolution des impuretés. Dans la machine à laver, c’est la lessive, avec la vaisselle à la main, c’est le liquide vaisselle, et dans un lave-vaisselle, ce sont des détergents sous forme de tablettes, capsules, pastilles, etc. 

 

Pouvez-vous utiliser du liquide vaisselle dans votre appareil électroménager à la place d’une tablette ? La réponse est non. Sous cette forme, le produit nettoyant pour vaisselle risque d’endommager le lave-vaisselle, de ne pas laver correctement vos couverts, assiettes, verres et plats, ainsi que de créer une grosse quantité de mousse. Les liquides vaisselle sont donc loin d’être une solution de secours lorsque vous n’avez plus de tablettes ou de capsules gel pour votre lave-vaisselle.

 

Et le gel nettoyant pour lave-vaisselle ? C’est une option, mais qui implique l’achat d’un contenant en plastique. Pas forcément idéal si vous souhaitez réduire vos déchets.

 

C’est pourquoi on vous conseille l’achat de tablettes spécifiques pour lave-vaisselle, qui ont en plus l’avantage de vous permettre un dosage optimal. Si vous cherchez des tablettes ou capsules qui soient à la fois clean dans leur composition, efficaces même en cycle court et qui préservent la brillance des verres, il y a la solution SPRiNG. Nous proposons des capsules gel et des tablettes tout-en-un, vendues dans une boîte sans plastique.
Vous ne trouverez pas de matières controversées dans la liste d’ingrédients de nos produits, et ils ont une efficacité similaire, voire supérieure, à celle des pastilles conventionnelles du commerce.

 

Si vous voulez à tout prix privilégier le DIY, il existe également des préparations en poudre pour réaliser vos propres tablettes. Elles se composent entre autres de bicarbonate de soude, d’acide citrique ou encore de cristaux de soude.

Le sel régénérant : pour adoucir l’eau

L’indicateur du bac de sel régénérant est allumé ? Ne faites pas comme si vous n’aviez rien vu et remplissez-le ! En effet, l’utilisation de ce produit permet d’adoucir l’eau qui circule dans votre lave-vaisselle et de lutter contre le calcaire. Pourquoi est-ce important ? D’abord parce que cela va éviter d’endommager votre lave-vaisselle ou de nuire à ses performances. Ensuite, parce que le sel régénérant et adoucissant empêche l’apparition de traces sur votre vaisselle, notamment sur les verres ou plats en verre.

 

Pouvez-vous mettre du gros sel à la place des cristaux de sel régénérant ? Non, mauvaise idée. Le sel régénérant n’a pas la même composition que le gros sel, et ce dernier pourrait à la longue endommager votre appareil électroménager. Si vous comptiez économiser sur le prix d’achat en choisissant du gros sel, cela risque surtout d’engendrer de plus grandes dépenses par la suite si certaines pièces de votre appareil électroménager sont détériorées. D’autant qu’en achetant le sel régénérant en grande quantité, cela vous revient à peine à quelques euros par mois.

 

Peut-on se passer du sel régénérant lorsque l’on dispose d’un adoucisseur d’eau ? En théorie, oui. Mais le fait est qu’un adoucisseur est généralement raccordé aux pièces comme la salle de bain, mais pas à la cuisine (pour ne pas éliminer tous les minéraux lorsque l’on boit de l’eau du robinet notamment). Si votre adoucisseur ne fonctionne pas dans la cuisine, et donc pas avec votre lave-vaisselle, l’utilisation de sel régénérant est donc requise pour contrebalancer la dureté de l’eau.

 

Quand faut-il remettre du sel dans le lave-vaisselle ? Pas à chaque lavage, heureusement. Habituellement, les lave-vaisselles récents disposent d’un système d’alerte visuel et/ou sonore pour indiquer qu’il faut remplir le bac. La fréquence dépendra du nombre de cycles hebdomadaire, de la dureté de l’eau, etc. Vous n’avez alors qu’à dévisser le bouchon du réservoir, à remplir de sel en poudre (ou plutôt sous forme de cristaux), puis à bien refermer le bouchon.

Le liquide de rinçage : pour rincer, mais aussi mieux sécher

Autre réservoir dans votre lave-vaisselle : celui dédié au liquide de rinçage. Ce produit agit en fin de cycle, avec comme objectifs : 

 

  • de créer un film protecteur pour qu’il ne reste pas de résidu sur la vaisselle après lavage ;
  • d’éliminer les éventuelles traces de calcaire restantes ;
  • de permettre un séchage plus rapide et plus efficace.

 

Le liquide de rinçage n’est donc pas accessoire et possède de réels avantages, pour une vaisselle qui ressorte propre, brillante et sèche. 

 

Vous aimeriez faire vos liquides de rinçage maison ? C’est possible, par exemple en mélangeant du vinaigre blanc avec du jus de citron ou de l’acide citrique. Leur utilisation est la même qu’avec un liquide de rinçage et séchage conventionnel. Il suffit de verser le produit dans le réservoir dédié (réservoir avec un pictogramme représentant un soleil avec des rayons dessinés en pointillés), puis de bien le refermer. Pour le dosage, fiez-vous à l’indicateur de niveau maximum.

 

Faut-il ajouter du liquide de rinçage même lorsqu’on utilise une tablette de détergent tout-en-un ? On vous le conseille, pour une efficacité optimale.

Les produits pour l’entretien du lave-vaisselle

Pour préserver le bon fonctionnement et l’efficacité d’appareils comme le lave-vaisselle et la machine à laver, il faut les nettoyer régulièrement.

 

Dans le lave-vaisselle, vous pouvez opter pour des produits naturels bruts (ex. : vinaigre blanc), des recettes maison de produits nettoyants ou faire l’achat de nettoyants multisurfaces. Pensez à nettoyer la cuve de l’appareil, mais aussi le filtre, les joints de porte ainsi que les buses des bras de lavage. Vous viendrez ainsi à bout des résidus alimentaires qui ont pu rester coincés, des éventuelles traces de détergent, des mauvaises odeurs et du tartre. Un entretien mensuel est suffisant si vous utilisez les bons produits dans votre lave-vaisselle pour le lavage quotidien.


Tout savoir sur l'adoucissant maison

Vous aimez que votre linge ressorte doux de la machine ? Qu’il ait une bonne odeur ? Qu’il soit plus facile à repasser ? Si vous ne le faites pas encore, on peut donc vous conseiller d’utiliser des produits adoucissants. Mais pas n’importe lesquels, pour éviter les allergènes et les substances potentiellement nocives. C’est pourquoi on vous propose nos astuces pour confectionner votre adoucissant maison, respectueux de la peau et moins nocif pour l’environnement.

Pourquoi utiliser de l’adoucissant ?

Le rôle de l’adoucissant est… Suspense… d’adoucir ! Qu’est-ce que cela veut dire concrètement ? Eh bien, en mettant de l’adoucissant dans votre machine à laver, vous permettez à votre linge d’être plus souple et plus agréable au toucher. L’adoucissant permet aussi de parfumer le linge, offrant une fraîcheur longue durée à vos draps, un doux parfum floral à vos vêtements, etc.

 

Est-ce pour autant obligatoire d’utiliser un adoucissant ou un assouplissant ? Non. Cela est surtout recommandé si l’eau de votre maison est calcaire, car c’est ce calcaire qui durcit le linge et a tendance à le rendre rêche. Par ailleurs, si ce n’est pour le parfum, il n’est pas utile de verser de l’adoucissant dans la machine lors du lavage de vêtements synthétiques.

Quelles sont les bonnes raisons de faire son propre adoucissant ?

Tout comme la lessive, le liquide vaisselle ou d’autres produits d’entretien, un adoucissant conventionnel peut contenir des ingrédients peu recommandables. Parmi eux, il peut y avoir des parfums allergènes (chimiques ou d’origine naturelle), de potentiels perturbateurs endocriniens, des ingrédients issus de la pétrochimie, etc. Bref, ce n’est pas toujours l’idéal pour votre peau, pour votre santé et pour la planète.

 

Si vous décidez de réaliser un adoucissant maison, alors tout est différent. Vous choisissez en effet les ingrédients qui composent la préparation, permettant d’éviter les substances controversées et les produits auxquels vous savez être allergique.

 

L’autre atout non négligeable de la préparation d’un assouplissant DIY, ce sont les économies réalisées. Pour une préparation maison, vous pouvez vous contenter d’utiliser du simple vinaigre blanc, bien moins onéreux au litre qu’un adoucissant liquide conventionnel.

 

On n’oublie pas non plus les emballages… La grande majorité des adoucissants liquides sont vendus dans des bouteilles en plastique. Lorsque la formule est concentrée, c’est un peu mieux, car cela permet d’avoir un plus grand nombre de doses pour un emballage de la même taille. Mais cela reste du plastique à usage unique, et donc pas écologique. Si vous préparez votre adoucissant maison, alors vous pouvez réduire la quantité de déchets, notamment en réutilisant toujours la même bouteille en verre et en achetant les ingrédients en vrac, par exemple.

Quelles recettes pour fabriquer de l’adoucissant maison ?

Si vous êtes désormais convaincu de l’intérêt de réaliser un assouplissant maison naturel, voici comment y parvenir avec quelques recettes. Promis, c’est simple et rapide !

La préparation d’un adoucissant liquide

La recette phare pour les recettes DIY d’assouplissants, c’est le mélange de vinaigre, d’eau et d’huiles essentielles. Mais il y a quand même quelques règles à respecter : 

 

  • utilisez du vinaigre blanc ménager (le vinaigre balsamique, c’est super bon, mais ça tache) ;
  • mélangez le vinaigre avec de l’eau, et idéalement de l’eau déminéralisée, plutôt que de l’eau du robinet qui peut être calcaire ;
  • n’utilisez des huiles essentielles qu’après avoir fait un test sur votre peau (une goutte dans le creux du coude), pour vous assurer que vous n’y êtes pas allergique ;
  • n’utilisez pas d’huile essentielle pour préparer un adoucissant qui servira pour les vêtements d’un bébé ou d’un jeune enfant.

 

Dans quelques proportions faut-il faire le mélange ? Comptez de 30 à 40 % de vinaigre pour 60 à 70 % d’eau. Pour un linge qui sent bon, ajoutez une dizaine de gouttes de l’huile essentielle de votre choix par litre d’assouplissant. Les huiles essentielles phares sont celles de citron et de lavande, mais libre à vous de choisir celles qui vous plaisent. Évitez simplement toute huile essentielle fortement colorée, comme celle de mandarine par exemple, car cela pourrait tacher le linge. Vous pouvez aussi choisir de faire infuser directement des branches de fleurs ou de plantes aromatiques dans la bouteille pour que l’assouplissant ait une odeur agréable.

 

Pour un meilleur effet assouplissant, l’astuce est de compléter cette recette avec de la glycérine végétale, qui détend les fibres du linge. Comptez 50 cl de vinaigre blanc et 50 cl d’eau, additionnés de 30 ml de glycérine, et des huiles essentielles si vous le souhaitez.

 

Autre option : le mélange d’eau et d’acide critique, un produit connu pour son pouvoir détartrant et assouplissant. Là aussi la recette est très simple : versez 1 litre d’eau dans une bouteille en verre, puis ajoutez 70 grammes d’acide citrique. Secouez et laissez reposer le temps que l’acide se dissolve dans la préparation.

 

Pour chacune de ces recettes, le dosage et l’utilisation en machine sont les mêmes qu’avec un produit conventionnel : versez la quantité requise dans le bac de rinçage, et laissez la machine faire son travail.

 

Certaines recettes d’assouplissants liquides incluent à la fois du vinaigre blanc et du bicarbonate de soude. On ne vous le conseille pas vraiment, car le mélange des deux crée une réaction qui annule leurs propriétés respectives. 

La recette de l’assouplissant en poudre

Vous préférez la version en poudre ou en cristaux pour votre adoucissant ? C’est aussi possible, en utilisant seulement 2 ou 3 ingrédients. Placez 250 grammes de gros sel ou de sel d’Epsom (sulfate de magnésium) dans un bocal en verre, puis versez une dizaine de gouttes d’huiles essentielles de votre choix. Secouez pour bien mélanger les deux ingrédients (en fermant le bocal, on le précise). Ajoutez ensuite 60 grammes de bicarbonate de soude et mélangez à nouveau. Une fois prêt, votre adoucissant peut être utilisé en machine, à raison de deux cuillères à soupe dans le bac de rinçage à chaque lavage qui le nécessite.

L’assouplissant SPRiNG : clean et efficace

Préparer une lessive au savon de Marseille ou un adoucissant au bicarbonate de soude, ce n’est pas vraiment votre truc ? Ne culpabilisez pas : vous n’êtes pas obligé d’opter pour le DIY pour profiter d’un assouplissant sans matières controversées, qui dégage une agréable odeur et qui prend soin de votre linge. Il y a en effet l’assouplissant en poudre SPRiNG, avec une formule à 95 % d’origine naturelle, sans eau, et conditionné dans une boîte en carton.


Qu'est-ce que le greenwashing ?

Pour séduire les consommateurs et s’inscrire dans la tendance d’une consommation plus éco-responsable, certaines entreprises mettent en place de vraies actions, menant une politique pour réduire leur bilan carbone, limitant la production de déchets, privilégiant une énergie renouvelable, réduisant l’impact de leur activité sur la biodiversité, etc.

 

Et puis, il y a les autres. Celles qui voudraient faire croire qu’elles sont écologiquement éthiques et qu’elles agissent pour le développement durable, alors qu’il n’en est rien (ou que la communication autour de ce sujet est grandement exagérée comparée à la réalité de leurs actions). Bienvenue dans l’univers du greenwashing. On vous y fait entrer pour vous aider à mieux en sortir !

Greenwashing : de quoi parle-t-on ?

Si on en entend souvent parler, on ne sait pas toujours ce qu’il faut mettre derrière le terme de greenwashing, ou “green washing” en deux mots (qu’importe l’orthographe, le résultat est le même). On vous explique de quoi il s’agit, avec quelques exemples concrets pour y voir plus clair.

La définition du greenwashing

Le greenwashing est un terme que l’on pourrait littéralement traduire en français comme “blanchiment vert”, et que l’on nomme parfois “écoblanchiment”. L’écoblanchiment est d’ailleurs un terme qui est entré dans le dictionnaire.
Il s’agit d’une méthode de marketing et de communication utilisée par certaines entreprises, consistant à mettre en avant des arguments écologiques pour vanter leurs produits et leurs services. Cela n’est pas un problème en soi, sauf que lorsque l’on parle de greenwashing, ces arguments sont trompeurs, voire complètement faux. On peut donc l’assimiler à de la publicité mensongère, que la tromperie porte sur le fond ou sur la forme.

 

Le green washing ne doit donc pas être confondu avec le green marketing, qui consiste aussi à communiquer sur une politique RSE, une réduction du bilan carbone ou d’autres arguments environnementaux, mais de façon honnête et transparente.

Quelques exemples de pratiques de greenwashing

Loin de nous l’idée de blâmer et de pointer certaines marques du doigt pour vous expliquer ce qu’est le greenwashing. Mais quelques exemples génériques peuvent vous aider à mieux comprendre de quoi il retourne : 

 

  • l’utilisation d’une longue liste d’adjectifs “pro-environnement” pour définir un produit, sans aucun argument valide pour les justifier (ex : un produit ménager qualifié comme écologique, éco-responsable et respectueux de la nature, sans aucun élément qui l’explique, ni label indépendant pour le certifier) 
  • une communication centrée sur une gamme de produits réellement plus éco-responsables, avec pour objectif de détourner l’attention des autres produits de la marque qui n’ont rien d’écologique (ex : une marque de cosmétiques qui lance une gamme bio tout en conservant des gammes conventionnelles, et qui axe toute son image de marque autour de ces nouveaux produits bio) 
  • la mise en avant d’actions favorables à l’environnement, qui ne représentent pourtant qu’une petite part des activités ou du mode de production de l’entreprise (ex : faire la publicité de ressources renouvelables comme mode de production d’énergie, alors que celles-ci ne représentent qu’une part minime des ressources utilisées) 
  • l’utilisation de couleurs, de dessins et de pictogrammes trompeurs, qui laissent penser que le produit est écologique (ex : un emballage vert et marron, avec de jolies petites fleurs) 
  • les mentions “sans X, sans Y”, etc. mises en avant dans les campagnes de communication ou sur les emballages, alors que l’absence des ingrédients concernés ne fait que répondre à la réglementation 
  • le mensonge, tout simplement, par lequel une entreprise présente des affirmations qui ne sont même pas tendancieuses ou qui prêtent à interprétation, mais qui sont délibérément fausses.

 

On voit donc que le greenwashing peut prendre diverses formes, parfois si subtiles que même un consommateur aguerri peut tomber dans le panneau.

Pourquoi les entreprises pratiquent-elles le greenwashing ?

Dès lors qu’elle est considérée comme trompeuse, toute pratique commerciale est répréhensible par la loi, et plus encore lorsque l’on parle d’environnement. Ce n’est pas nous qui le disons, c’est tout simplement inscrit dans le Code la Consommation français. Or, presque toutes les pratiques de greenwashing s’inscrivent dans les pratiques commerciales “trompeuses” ou “déloyales”. Les entreprises risquent donc gros à édulcorer ou à inventer des actions environnementales, d’abord parce qu’elles s’exposent à une amende conséquente. Mais aussi, et surtout, lorsqu’elles sont démasquées, c’est l’image de marque qui peut en prendre un sacré coup.

 

Mais alors, pourquoi voit-on encore aujourd’hui autant de publicités et d’arguments marketing qui ont tout du greenwashing, en France comme à travers le monde ? Parce que les arguments écologiques sont à la mode et font vendre, et parce que tout consommateur n’a pas forcément les cartes en main pour déceler le vrai du faux. Certaines entreprises espèrent aussi sûrement passer entre les mailles du filet, et d’autres encore peuvent pratiquer le greenwashing sans le vouloir, par ignorance ou par erreur. Ce qui n’en reste pas moins une tromperie envers les consommateurs, d’autant que des outils sont désormais à la disposition des entreprises pour éviter le greenwashing. On compte parmi eux le guide pratique des allégations environnementales du Conseil National Français de la Consommation, la Recommandation Développement Durable de l’ARPP ou encore l’outil en ligne anti-greenwashing de l’ADEME.

Comment ne pas se laisser berner par l’écoblanchiment des marques ?

Vous voudriez consommer en réduisant vraiment votre impact environnemental, mais vous craignez d’être victime d’une publicité green washing ? Vous n’êtes pas les seuls. Heureusement, quelques astuces peuvent vous aider à faire les bons choix, en accord avec vos valeurs environnementales.  

Regarder la liste des ingrédients d’un produit prétendument vert

Ne vous fiez pas uniquement aux allégations données par une marque. Si un produit cosmétique est par exemple vanté comme “issu de la nature” ou “composé de substances d’origine naturelle”, alors vérifiez sa composition. Il se peut en effet qu’il y ait quelques ingrédients naturels, mais qu’en est-il du reste ? Et s’ils ne sont pas naturels, savez-vous d’où ils viennent, s’ils sont potentiellement nocifs pour l’environnement ou votre santé ?

 

Privilégiez également les marques qui expliquent clairement ce qui compose leurs produits. Dans certains produits ménagers, d’hygiène ou de beauté par exemple, il peut y avoir des ingrédients qui laissent perplexes, parce qu’ils ont un nom à rallonge ou qui ne sonnent pas très “nature”. Mais ce n’est pas parce que vous ne savez ce que c’est, que c’est mauvais ou chimique. Si vous avez accès à une description plus détaillée de chaque ingrédient, alors vous êtes face à une entreprise qui fait preuve d’honnêteté et qui vous aide à mieux comprendre ce que vous vous apprêtez à acheter.

Se fier à des labels de confiance

Pour éviter de se faire avoir par des campagnes de communication ou des emballages pollués par le greenwashing, il y a aussi certains labels à connaître. Chacun a son propre cahier des charges, mais ils permettent tous d’acheter des produits plus écologiques ou plus responsables. On compte parmi eux l’Écolabel européen et le label Ecocert, ou encore les labels bio. Si vous voulez en savoir plus sur les labels à privilégier en fonction des types de produits, consultez le guide des labels environnementaux recommandés par l’ADEME.


Tout savoir sur le liquide vaisselle maison !

Décorations, mobilier, cuisine, etc. : le DIY est tendance dans tous les domaines, y compris lorsqu’il s’agit de produits d’entretien. On voit d’ailleurs fleurir de nombreux tutos et recettes pour faire sa propre lessive écologique, son nettoyant multi-surface naturel ou encore son liquide vaisselle. Cela vous tente ? Voici ce qu’il faut savoir sur le liquide vaisselle maison !

Pourquoi faire son propre liquide vaisselle ?

Pourquoi prendre le temps de fabriquer du liquide vaisselle, alors qu’on en trouve facilement de toutes sortes dans les rayons des magasins et en ligne ? Une question que certains se posent, et à laquelle on a quelques réponses à apporter.

Contrôler la composition de son liquide vaisselle

Avez-vous déjà regardé les ingrédients contenus dans un liquide vaisselle conventionnel, écologique ou bio ? Focus sur l’ingrédient principal d’abord : l’eau. Eh oui, en achetant un liquide vaisselle, vous achetez un ingrédient que vous avez déjà chez vous et qui ne vous coûte que très peu cher lorsqu’il sort du robinet.

 

Et les autres composants de la liste ? Si certains produits pour la vaisselle sont clean et écologiques, d’autres contiennent des substances controversées. Il peut par exemple y avoir des parfums allergènes, des conservateurs irritants, des dégraissants chimiques, etc.

 

Le liquide vaisselle maison prend alors tout son sens : vous pouvez en effet le fabriquer uniquement avec des produits naturels, en utilisant des ingrédients qui ne vous feront pas courir d’allergies et qui sont moins nocifs pour l’environnement. Un bon point, n’est-ce pas ?

S’orienter vers le zéro déchet

En France, une famille utilise en moyenne 3 à 4 litres de liquide vaisselle. Si on part sur une base de 500 ml pour un produit vaisselle, alors cela fait de 6 à 8 flacons ou bouteilles par an, mais ça peut être bien plus dans les foyers où l’on préfère les petits formats.
Et qui dit flacon ou bouteille, dit plastique, et donc impact non négligeable sur l’environnement.

 

Faire son propre liquide vaisselle permet de réduire significativement ce type de déchet, grâce à plusieurs astuces. On peut notamment réutiliser toujours le même contenant, comme une bouteille en verre ou un ancien flacon de liquide vaisselle par exemple en le lavant bien entre deux usages. On peut aussi acheter les ingrédients de base en vrac ou en grosse quantité, qu’il s’agisse du savon, du bicarbonate de soude, des cristaux de soude ou encore du vinaigre blanc.

 

Si vous voulez opter pour du zéro déchet, il y a aussi les produits SPRiNG. Notre liquide vaisselle est vendu sous la forme d’une bouteille réutilisable et rechargeable avec un bouchon pompe, et d’une poudre à diluer dans l’eau pour fabriquer un produit vaisselle liquide. Dès que vous n’avez plus de liquide vaisselle, il vous suffit de commander une recharge de poudre, qui ne contient que les ingrédients essentiels pour un nettoyage efficace et qui est conditionnée dans une petite pochette en papier entièrement recyclable. En une seule étape, votre préparation est prête : placez la recharge dans la bouteille, ajoutez de l’eau, mélangez, et voilà !

Faire des économies sur ses produits ménagers

Vous le constatez peut-être déjà en cuisine : cela coûte généralement moins cher de faire les choses soi-même que d’acheter des produits prêts à consommer. C’est pareil pour le liquide vaisselle et les autres produits d’entretien ! En achetant les produits bruts et en les préparant à la maison, vous dépenserez moins qu’en optant pour un liquide vaisselle vendu en magasin. 

Liquide vaisselle maison : aussi efficace qu’un produit du commerce ?

Lorsqu’on est habitué aux produits conventionnels pour faire la vaisselle et le ménage, on peut être un peu décontenancé par la texture, l’odeur ou l’efficacité apparente d’un produit maison. Pourtant, quand on suit bien les étapes de recettes éprouvées par d’autres adeptes du DIY, on se rend compte que le liquide vaisselle maison fait très bien son travail.

 

S’il ne mousse pas par exemple, ce n’est pas pour autant qu’il ne nettoie pas. C’est simplement qu’il ne contient pas de tensioactif. Si cela vous dérange, utilisez des tensioactifs naturels pour apporter cette mousse. 

 

Si c’est l’odeur qui vous déplaît, alors n’hésitez pas à ajouter quelques gouttes d’huiles essentielles conventionnelles ou bio dans la préparation (citron, romarin, pamplemousse, etc.), en vous assurant que vous n’y êtes pas allergique.

 

Sachez par ailleurs qu’il vous faudra peut-être tester plusieurs recettes de liquide vaisselle, pour trouver celle qui convient le mieux à votre utilisation (utilisation quotidienne pour toute la vaisselle, utilisation ponctuelle pour dégraisser, liquide vaisselle multi-usage pour nettoyer toute la cuisine, liquide vaisselle qui fait aussi office de savon pour les mains, etc.).

Quels sont les principaux ingrédients pour un liquide vaisselle DIY ?

L’avantage avec les liquides vaisselle faits maison, c’est qu’il ne nécessite que quelques ingrédients faciles à se procurer, économiques et naturels qui plus est.

 

Selon la recette, vous pourrez avoir besoin : 

 

  • d’un pain ou de copeaux de savon de Marseille ;
  • de savon noir liquide ;
  • de bicarbonate de soude ;
  • de vinaigre blanc ;
  • de cristaux de soude ;
  • de quelques gouttes d’huile essentielle ;
  • et bien sûr : d’eau !

 

La liste est donc réduite et si vous achetez ces matières premières pour une recette de liquide vaisselle, elles pourront vous resservir pour bien d’autres recettes et usages à la maison (lessive, nettoyage de la salle de bain, détartrage de la bouilloire, etc.).

 

Pensez aussi à vous munir de quelques accessoires indispensables pour confectionner la recette, comme une cuillère à soupe, une grande cuillère pour mélanger, une balance, une grande casserole, un entonnoir, etc.

 

Une fois que vous disposez de tout cela, ne reste qu’à suivre les étapes de la recette que vous avez choisie : faites fondre les copeaux de savon, ajoutez les autres produits, mélangez, laissez refroidir, puis versez dans le flacon ou la bouteille de votre choix.

Comment utiliser son liquide vaisselle fait maison ?

Si vous vous attendez à un scoop, ce n’est pas ici que vous le trouverez : le produit vaisselle DIY s’utilise comme tous les autres liquides vaisselle. Versez-en un peu sur une éponge et frottez. Si vous souhaitez bénéficier de son effet dégraissant pour nettoyer un plat de gratin, une poêle pleine d’huile ou encore du lait collé au fond d’une casserole, vous pouvez verser un peu de produit avec de l’eau et laisser tremper. Au besoin, rajoutez du bicarbonate de soude ou du vinaigre, connus pour leur pouvoir dégraissant. Frottez ensuite à l’éponge pour éliminer tous les restes de saleté.

Bon à savoir : les ingrédients comme le savon noir, le savon de Marseille, le vinaigre blanc, etc. sont multiusages. Votre liquide vaisselle naturel fait maison peut ainsi vous servir pour le ménage : nettoyage du plan de travail, du frigo, de l’évier, de la crédence, etc.


Les avantages du porte-savon

Vous êtes passé aux savons et autres produits solides pour l’hygiène et pour votre routine beauté ? Très bonne idée, car vous réduisez vos déchets, vous économisez de l’argent et vous privilégiez des formules plus clean et éco-responsables. Mais ne vous manque-t-il pas un accessoire pratique pour placer votre savon ou tout autre produit solide dans la douche ou la baignoire ? On veut bien sûr parler du porte-savon mural, un support aux multiples avantages, qui s’installe sans perçage.

Un porte-savon, qu’est-ce que c’est ?

On ne fait pas ici référence au porte-savon habituel en plastique, en acier chromé, en céramique ou en bambou, à placer sur le rebord du lavabo ou de la baignoire, ni au distributeur pour savons liquides. Non, on vous parle d’une solution encore plus pratique qu’est le porte-savon mural magnétique.

 

Son design est des plus simples, mais il deviendra vite indispensable dans votre salle de bain ou votre cuisine. Chez Beaudy, on a conçu un porte-savon aimanté, composé de deux parties : 

 

  • Une capsule en acier inoxydable, à insérer dans le shampoing, le gel douche ou le nettoyant visage solide. La matière inox a l’avantage de ne pas se corroder, ce qui est indispensable pour des accessoires destinés à une pièce humide et qui sont quotidiennement soumis aux gouttes d’eau.
  • Une ventouse avec un aimant, que l’on place au mur et sur laquelle on peut ensuite venir déposer le savon. Comme par magie (ou par les simples lois de la physique à  vrai dire), votre pain nettoyant flotte au mur.

Quels sont les atouts d’un porte-savon mural ?

Vous avez maintenant compris ce qu’était le porte-savon mural, mais savez quels sont ses avantages ? Bien qu’il soit tout petit et vendu à petit prix, il peut en effet vous faciliter la vie au quotidien.

Des produits solides qui restent propres et secs

Si on préfère encore parfois utiliser un gel douche ou un shampoing liquide, c’est parce que dans ce format, les produits sont protégés par leur emballage. Et avec les produits solides, lorsqu’on les laisse reposer sur l’évier ou dans la douche, alors ils se salissent, prennent l’eau et risquent de voir proliférer microbes et bactéries. Cela est vrai aussi si vous utilisez un porte-savon classique ou une petite boîte, puisque le savon reste en contact avec des surfaces propices au développement des bactéries, à plus forte raison encore avec un porte-savon en bois par exemple.

 

Le porte-savon mural aimanté vient alors à la rescousse, en évitant au nettoyant solide de macérer dans l’eau. Il peut alors plus facilement sécher et n’entre pas en contact avec des agents peu hygiéniques. Et puis, cela lui évite de développer une texture collante, qui ne donne pas vraiment envie de se laver avec.

Une plus longue durée de vie pour vos produits d’hygiène et de beauté

L’autre problématique avec un porte-savon habituel ou avec un savon laissé sur le bord de la baignoire, c’est qu’en étant en contact avec l’eau, le produit solide va fondre à vitesse grand V. Et ce n’est pas vraiment ce que vous recherchez en optant pour des gels et shampoings solides…

 

Là aussi, le porte-savon magnétique se révèle très utile, en évitant le contact permanent du gel douche ou shampoing solide avec l’eau. Vous gardez ainsi vos produits zéro déchet plus longtemps et vous économisez vraiment. Profitez de votre nettoyant solide pendant des semaines !

Une prise en main plus facile de votre gel douche ou shampoing solide

Qui n’a jamais lutté pour décoller un pain de savon collé à la baignoire ou au lavabo, pour le voir ensuite glisser des mains ? Une rude épreuve que l’on voudrait à tout prix éviter lorsque l’on saute dans la douche à peine réveillé ou que l’on espérait se détendre avec un bon bain. 

 

Devinez quoi ? Le porte-savon en inox est encore votre sauveur face à ce problème ! D’abord, parce que vous le placez où vous le voulez, pour que ce soit pratique pour vous. Ensuite, parce que le savon est très facile à prendre en main, simplement en tirant légèrement dessus pour décoller la partie magnétique insérée dans le savon de l’élément aimanté de la ventouse.

Un gain de place dans la salle de bain

Si le porte-savon standard n’est pas très volumineux, il prend tout de même de la place au niveau du lavabo de la salle de bain ou de l’évier de la cuisine. Alors, faire le choix d’un support mural aimanté en inox, c’est aussi optimiser un peu plus l’espace. Cela laissera plus de place pour le verre de votre brosse à dents ou vos accessoires de beauté par exemple.

Des accessoires à utiliser où vous le souhaitez

Avec son système de ventouse, le porte-savon mural est très simple d’installation, sur divers types de supports (carrelage dans la salle de bain, crédence stratifiée ou en verre dans la cuisine, etc.). Libre à vous de le placer où bon vous semble, que ce soit près de l’évier de la cuisine pour ranger un savon pour les mains, à côté du lavabo de la salle de bain pour avoir votre nettoyant visage à portée de main, dans la douche pour le gel douche et le shampoing solides, etc. Toute votre gamme de savons et produits solides peut bénéficier d’un support comme le porte-savon aimanté.

Un choix facile, avec un seul produit disponible

Pas besoin de rester une heure sur une page web ou dans un rayon de magasin pour trouver LE porte-savon design qu’il vous faut, si vous optez pour un modèle mural. Pourquoi ? Parce qu’une fois mis en place, le porte-savon devient presque invisible, et on ne voit que le produit qu’il permet de maintenir. Ne cherchez pas un modèle noir, blanc, chromé, finition laiton ou plein de couleurs, et optez simplement pour une version en acier inoxydable standard, qui a toutes les qualités.

Comment utiliser un porte-savon ?

Pas besoin d’avoir fait Maths Sup’ pour installer votre porte-savon magnétique et l’utiliser chaque jour. Voici tout de même quelques conseils pour que tout se déroule au mieux : 

 

  1. Nettoyez et dégraissez la surface où vous souhaitez placer la ventouse, afin qu’elle adhère bien, en utilisant une éponge ou une brosse.
  2. Fixez la ventouse, en veillant à ce que la surface soit plane et à ne pas la positionner sur un joint de carrelage par exemple.
  3. Insérez la capsule en acier inoxydable dans votre savon.
  4. Placez le côté aimanté du savon contre la ventouse, et voilà, votre support et votre savon sont accrochés au mur.

 

On vous avait prévenu, c’est très facile, et sans perçage en plus. Il ne vous reste qu’à profiter de vos produits solides préférés pendant des semaines.


Comment bien nettoyer son lave-vaisselle ?

Tout comme la machine à laver, le lave-vaisselle a aussi besoin qu’on prenne soin de lui. Parce qu’à force de voir défiler des assiettes, plats et couverts sales, il a en effet tendance à s’encrasser. Sans compter sur le calcaire présent dans l’eau qui peut l’entarter, nuisant à ses performances et à sa longévité. Et avec toute la vaisselle qu’il vous évite à la main, cet appareil mérite bien que vous le chouchoutiez !
Soyez rassuré, car avec les bons gestes et un entretien adapté, votre appareil électroménager pourra rester tout propre et assurer au mieux ses fonctions de nettoyage, rinçage et séchage.

L’entretien quotidien pour un lave-vaisselle

Il n’y a pas d’astuce miracle : pour que l’intérieur de votre lave-vaisselle soit propre, il faut utiliser des produits adaptés, à chaque cycle. 

Si vous ne possédez pas d’adoucisseur pour l’eau de votre cuisine, la première étape indispensable avant de mettre en marche le lave-vaisselle, c’est de placer du sel spécial lave-vaisselle dans le compartiment dédié. Ce sel adoucit l’eau et permet ainsi non seulement d’éviter les traces sur les verres, mais aussi d’empêcher l’accumulation de tartre dans le lave-vaisselle. 

 

Par ailleurs, après chaque cycle de lave-vaisselle, jetez un œil dans la cuve. Si vous y voyez des résidus de nourriture, enlevez-les à l’aide d’une éponge ou d’un chiffon. Cela évitera que ces résidus viennent se loger dans le filtre ou dans les bras du lave-vaisselle au prochain cycle.

Les solutions pour venir à bout d’un lave-vaisselle encrassé

De façon régulière (une fois par mois par exemple) ou dès que vous constatez que le lave-vaisselle est particulièrement sale et/ou qu’il dégage des odeurs peu agréables, il est temps de passer à l’étape de nettoyage plus en profondeur. On a de bons conseils pour vous accompagner dans cette tâche.

Le nettoyage de la cuve

Pour nettoyer l’intérieur de votre appareil électroménager, deux options : faire tourner un cycle à vide ou privilégier l’huile de coude.

 

Si c’est l’option numéro un qui vous séduit, rien de plus simple : il suffit de mettre un produit spécial nettoyage du lave-vaisselle dans le bac à détergent et de lancer le cycle. Le problème est que certains de ces produits contiennent des substances chimiques qui peuvent s’avérer nocives pour l’environnement. Pour un lavage plus naturel (et généralement plus économique), versez soit 6 cuillères à soupe d’acide citrique, 4 cuillères à soupe de bicarbonate de soude ou un grand verre de vinaigre blanc, à placer directement dans la cuve de l’appareil. Vous pouvez aussi placer un citron sur la grille du lave-vaisselle, car il a des propriétés intéressantes pour détartrer et désodoriser. Faites ensuite tourner le lave-vaisselle sur un cycle standard. Cela va permettre d’éliminer le calcaire et les salissures présents dans le lave-vaisselle. Si la cuve était vraiment sale, alors n’hésitez pas à passer un coup d’éponge à la fin du cycle, pour enlever tout résidu.

 

Astuce à connaître : le vinaigre blanc et le bicarbonate de soude sont aussi deux alliés naturels de choix lorsqu’il s’agit de détartrer et nettoyer la machine à laver le linge. Versez ces deux produits dans le tambour et faites tourner à vide pour retrouver une machine propre.

 

Motivé pour mettre en œuvre l’option numéro deux ? Rien de très compliqué non plus, puisqu’il vous faut une éponge et un produit nettoyant, de type vinaigre blanc ou nettoyant multi-surfaces que vous utilisez pour le reste de la maison. Ensuite, on ne va pas vous faire un dessin : passez dans l’ensemble de la cuve pour nettoyer et éliminer les résidus, et au besoin, frottez les espaces plus difficilement accessibles avec une brosse à dents.

Le coup de propre sur le joint de porte

Les joints du lave-vaisselle sont des éléments qui ont tendance à facilement s’encrasser. Les moindres résidus de nourriture peuvent venir s’y loger et finir par dégager de mauvaises odeurs. C’est pourquoi, de temps en temps, on vous conseille de simplement passer une éponge ou un chiffon humidifié dans et autour du joint de porte. Rien de sorcier, cela vous prendra deux minutes tout au plus et garantira une plus longue durée de vie des joints.

Le nettoyage du filtre

Autre étape à ne pas négliger pour l’entretien de votre lave-vaisselle : vider, nettoyer et dégraisser le filtre. Vous savez, c’est ce bloc que l’on voit au bas de la cuve du lave-vaisselle, et auquel on ne touche presque jamais. Et pourtant, le filtre accumule un tas de saletés, de graisses et de résidus en tous genres. Si vous ne le nettoyez pas régulièrement, bonjour les odeurs ! Sans compter qu’un filtre encrassé peut nuire au bon fonctionnement de l’appareil et générer un lavage moins efficace.

Alors, on fait quoi ? On prend son courage à deux mains et on déloge le filtre de la cuve. N’hésitez pas à mettre des gants de ménage s’il n’a pas vu le jour depuis longtemps.
S’il y a de gros résidus, direction la poubelle. Pour le reste, on passe le filtre sous l’eau chaude et on le nettoie avec du liquide vaisselle ou du vinaigre blanc.

Le débouchage des bras d’aspersion

Derniers éléments à nettoyer, et non des moindres : les bras de lavage de l’appareil. Pour un entretien de routine, vous pouvez les laver en même temps que le reste de l’appareil, à l’eau ou au liquide vaisselle par exemple.
Si vous en êtes plutôt au grand ménage de printemps, l’astuce pour simplifier le nettoyage des bras est de les démonter. Dans la plupart des cas, nul besoin de sortir la malle à outils, puisque les bras sont simplement clipsés.

Afin de les détartrer et de déboucher les petits trous qui laissent passer l’eau, vous pouvez faire tremper les bras dans un mélange moitié eau, moitié vinaigre. Aidez-vous ensuite d’un cure-dent, d’une brosse à dents ou d’une épingle pour bien déboucher chaque orifice.

Avec tous ces conseils et astuces, votre lave-vaisselle est nettoyé en profondeur et peut de nouveau assurer le nettoyage, le rinçage et le séchage de votre vaisselle, de façon efficace et sans mauvaises odeurs ! En plus, vous n’avez besoin que de produits naturels et ce nettoyage régulier ne prend que peu de temps dans votre routine ménage. Alors, prêt à faire briller votre lave-vaisselle et à maximiser sa durée de vie ?


Faire une éponge zéro déchet Tawashi

Vous ne faites que d’en racheter, elle s'abîme super vite, elle est en plastique, pleine de bactéries et pollue la planète… Pas besoin d’en rajouter, l’éponge classique est vraiment l’ennemi tout moelleux de nos cuisines. Heureusement, on a la solution pour la bannir de chez vous à tout jamais ! On vous parle de l’éponge tawashi, originaire du japon, cette alternative est naturelle, écologique et zéro déchet

 

Tawashi, c’est quoi ? 

L’éponge Tawashi est une éponge écologique lavable confectionnée à partir de tissus de récupération. Elle est composée de bandes de tissu tissées, crochetées ou tricotées. On vous rassure, pas besoin de maîtriser la couture comme mamie. On peut l’utiliser pour toutes les tâches ménagères, de la cuisine à la salle de bain. Et quand elle est sale, on ne la met pas à la poubelle mais bien dans votre machine à laver. 

 

Mais c’est vraiment bien ?

Une chose est sûre, les éponges c’est vraiment mal… Elles sont le plus souvent à base de résine synthétique et donc très polluantes. Elles sont un désastre de leur confection, à leur fin de vie en passant par leur utilisation. Elles rejettent des micro-plastiques dans votre évier à chaque utilisation et ne se recyclent pas. 

Tadaaam, l’éponge tawashi est là ! Écologique, économique, pratique, hygiénique, et déco. Bye bye les éponges jaune et verte toutes moches. Bye bye aussi les lavettes microfibres. L’éponge tawashi est multi-usages. Elle peut avoir différentes formes et composée de différentes matières selon vos goûts… Et ce que vous avez sous la main.

 

  • Pratique : elle est lavable en machine et résistante. Vous pouvez la réutiliser des centaines de fois.
  • Écologique : vous n'achèterez plus d’éponges fabriquées à partir de plastique non recyclable.
  • Hygiénique : fini l’éponge pleine de bactéries au coin de l’évier. Vous n’aurez qu’à la mettre dans votre prochaine machine.
  • Économique : Elle est totalement gratuite si vous la confectionnez vous-même.

 

Petit conseil : utilisez cette éponge avec un spray nettoyant sans matières controversées et sans plastique à usage unique. Ça tombe bien, on a tout ce qu’il vous faut ! Découvrez nos sprays multi-surfaces, salle de bain et vitre.

 

Mais alors comment on fait ?

 

Comment faire une éponge Tawashi ?

Il y a plein de tutos sur internet. Mais on en a sélectionné un pour vous qu’on aime beaucoup, car il ne nécessite rien du tout ! 

Chez SPRiNG, les chaussettes orphelines ça nous connaît (on a d’ailleurs lancé notre trio de chaussettes en coton). Alors aujourd’hui on va prendre 2 chaussettes qui se sont retrouvées toutes seules pour en faire une magnifique éponge Tawashi.

 

Équipement nécessaire : 

  • Un plat carré (d’environ 15 cm de large)
  • 2 chaussettes (si elles sont de différentes couleurs ça sera encore plus beau)
  • 28 pinces à linge
  • Une paire de ciseaux

 

Étapes : 

  1. Mettez 7 pinces à linge de chaque côté de votre plat (si vous ne pouvez pas en mettre autant ce n’est pas grave)
  2. Découpez 14 lanières de chaussettes (environ des lanières de 3 cm de largeur). Il faut découper dans le sens de la largeur pour que vous puissiez accrocher ces lanières de chaque côté des pinces à linge.
  3. Accrochez 7 lanières dans un sens
  4. Puis les 7 dans l’autre sens, en faisant bien en sorte de passer au-dessus puis en dessous des lanières mises dans l’autre sens. Il faut les tresser en quelque sorte.
  5. Vous avez maintenant un tressage de chaussettes. Il faut maintenant prendre la lanière d’un coin puis la passer dans la boucle de la lanière d’à côté. Poursuivre cette étape jusqu’à temps d’avoir fait un tour complet
  6. Faire un noeud avec la dernière lanière.

 

Alors on sait qu’on vous a sûrement perdu pendant les dernières étapes. 

C’est souvent plus simple avec un tuto vidéo. C’est cadeau.

 

C’est pas si compliqué, si ?

 

Une solution ultra simple

On est pas forcément manuel, on a pas le temps, on a aucune chaussette toute seule qui traine en attendant désespérément son acolyte (bon ça on y croit pas).

C’est pourquoi, on a une solution très simple à vous proposer. Et pour le coup, il suffit de cliquer ici

 

On a créé une éponge végétale en fibres recyclées. Bien mieux que les éponges classiques, elle est en cellulose absorbante et sans colorant. Son côté grattant est en sisal et fibres recyclées anti-rayures.

Elle n’est pas encore immortelle, mais elle est très résistante et se lave en machine lorsqu’elle est trop sale. Elle est très efficace tout en respectant notre santé et la planète.

 

Alors vous avez envie de la tester ?


L’entretien de la maison avec des produits naturels

Top 5 des produits d'entretien naturels indispensables 

Flash news : la majorité des produits ménagers conventionnels pour l’entretien de votre maison contiennent des ingrédients chimiques dont certains peuvent être nocifs. Votre santé et l’environnement y apposent leur véto ! Bon, OK, on en entend suffisamment parler pour que ce ne soit pas un vrai scoop.  

En revanche, savez-vous par quels produits vous pouvez remplacer votre habituel liquide vaisselle, votre lessive ou encore votre nettoyant multi-usages ? Il existe des alternatives naturelles, qui s’utilisent pures ou avec lesquelles vous pouvez réaliser vos propres recettes, avec un peu de motivation. Faire briller l’argenterie de Mamie, nettoyer les traces de pattes de Médor sur le carrelage, voir à nouveau clair à travers vos vitres : il y a 1001 usages possibles avec des produits d’entretien naturels. En plus, cela vous permettre d’entretenir votre maison à petit prix. 

Curieux(se) ? Allez, on est sympa et on vous dévoile quels sont ces produits et quelle est leur utilisation au quotidien ! 

Le bicarbonate de soude : bye-bye la graisse et les mauvaises odeurs 

Vous êtes du genre à oublier de faire tremper un plat de lasagnes une fois qu’il a été dévoré ? Votre four n’a pas vu la fonction pyrolyse depuis un moment ? La cuisson de votre dernier steak a laissé de belles traces sur vos plaques de cuisson ? Faites place au bicarbonate de soude, l’allié anti-graisse naturel !
Mélangez la poudre avec un peu d’eau pour former une pâte, puis frottez les traces et taches de graisse avec une éponge. Ça ne suffit pas ? Appliquez le produit sur la surface à nettoyer, laissez agir une dizaine de minutes, puis frottez, en pensant à bien rincer ensuite. 

Le bicarbonate de soude est aussi connu pour son action désodorisante. Si votre frigo contient des aliments odorants, de type camembert de 3 semaines ou gousse d’ail, placez une coupelle de bicarbonate sur une étagère du frigo : il absorbera une partie des odeurs. Vous pouvez en faire de même dans la poubelle. 

Si vous optez pour du bicarbonate alimentaire, sachez que vous pourrez aussi en faire un produit nettoyant pour vos fruits et légumes. Oui, oui, une « lessive naturelle » pour vos aliments. Faites-les tremper dans un mélange d’eau et de quelques cuillères à soupe de bicarbonate, puis rincez-les. Vous éliminerez ainsi les résidus de pesticides qui se trouvaient sur la peau de vos fruits et légumes. 

Le vinaigre blanc, l’agent anticalcaire pour toute la maison 

Dans le top des produits ménagers naturels et moins nocifs pour l’environnement, impossible de faire l’impasse sur le vinaigre (blanc, car le rouge risque de ne pas avoir franchement l’effet escompté). Il fait office de nettoyant ménage multi-usages, par exemple pour désinfecter le réfrigérateur, nettoyer le bac de l’évier, laver la baignoire, etc. On peut l’utiliser en spray ou en bouteille liquide, pure ou mélangée à de l’eau. 

Mais son super pouvoir, c’est avant tout sa capacité à éliminer le tartre. Votre cafetière coule moins bien ? Vos robinets sont pleins de traces ? Votre paroi de douche est devenue opaque ? Votre fer à repasser laisse des traces sur les vêtements ? C’est le moment de sortir l’arme fatale qu’est le vinaigre blanc !
Pour une bouilloire ou une cafetière, faites fonctionner la machine avec 1/3 de vinaigre et 2/3 d’eau. Une fois que c’est détartré, un conseil à suivre à tout prix : rincez moult fois l’appareil à l’eau claire ! On parle par expérience, un café goût vinaigre, ça n’a rien de plaisant. 

Pour les autres surfaces à détartrer et à faire briller, le plus simple est d’appliquer le produit en spray, de laisser agir quelques minutes, puis au besoin de frotter à l’éponge. 

Le savon de Marseille, le produit à tout faire  

Vous cantonnez le savon de Marseille à un gel douche pour personnes âgées ? Erreur ! D’abord, parce qu’il fait office de savon et de produit cosmétique à n’importe quel âge et qu’il est dans la tendance écologique : avec un seul et même produit naturel, vous pouvez presque tout faire. On s’en sert comme dentifrice, comme anti-acnéique, comme mousse à raser…mais bref, passons, loin de nous l’idée de nous lancer dans un blog beauté. 

En ce qui concerne l’entretien de la maison, vous pouvez en faire usage comme détachant du linge avant lavage en machine. Bébé a un peu trop joué avec le maquillage de maman ? Maman en a renversé son verre de vin rouge de colère ? Papa s’est coupé en ramassant le verre et en malencontreusement taché sa chemise préférée ? Mettez fin à ce scénario catastrophe en frottant du savon de Marseille sur les taches. Il peut d’ailleurs servir à fabriquer votre propre recette de lessive (sous forme de copeaux), en le mélangeant à de l’eau chaude, et à quelques gouttes d’huiles essentielles pour leur parfum naturel et leurs propriétés purifiantes (huile essentielle de citron, de Tea Tree, de lavande, etc.). 

Le savon de Marseille sert également à nettoyer toutes les surfaces de la maison, du plan de travail au lavabo en passant par le mobilier de jardin, les sols, les murs lessivables, etc.  

Le savon noir, le nettoyant au pouvoir dégraissant 

Dans la catégorie des savons, l’autre nominé est…le savon noir ! En fait, il n’est pas toujours vraiment noir, mais parfois vert foncé ou marron selon sa composition. Peu importe, il a toujours les mêmes propriétés. Il est notamment idéal pour l’entretien des sols, quel que soit le matériau tant qu’il est lavable. En plus de nettoyer, il nourrit et fait briller. D’ailleurs, vous pouvez aussi vous en servir pour redonner de l’éclat à vos ustensiles en argent, en inox et en cuivre, en les laissant tremper dans de l’eau chaude additionnée de quelques gouttes de savon noir. 

Son action dégraissante lui confère d’autres usages : dégraissage de la grille du barbecue (à bien rincer ensuite évidemment, la recette de viande marinée au savon n’est pas encore au menu des plus grands restaurants), nettoyage de la cuisine, lavage des jantes, etc. 

Il pourra également vous servir de spray écologique pour les vitres (de la maison, de la voiture, de la paroi de douche, etc.). On en dilue alors une petite quantité avec de l’eau, et on rince bien après nettoyage. 

Les cristaux de soude, un nettoyant naturel puissant 

Non, les cristaux de soude, ce ne sont pas de « gros morceaux de bicarbonate de soude ». Ce sont bel et bien deux produits naturels différents. Les cristaux sont plus puissants et plus agressifs que la poudre de bicarbonate de soude. Un bon point pour les taches tenaces, mais attention lors de leur utilisation : sortez vos gants de ménage les plus sexy ! Évitez également son usage sur des textiles et des matériaux sensibles. On réserve plutôt les cristaux de soude à ce qui est vraiment sale : canalisations encrassées, salle de bains rongée par le calcaire, nettoyage des toilettes, crédence de cuisine avec des taches d’huile ou de graisse quelconque, etc.
Pour le linge non délicat, on peut aussi l’utiliser en machine : il renforce l’action de la lessive et permet d’adoucir l’eau. C’est particulièrement utile si vous vivez dans une zone où l’eau est calcaire et que vous n’avez pas d’adoucisseur, car cela permettra d’accroître la durée de vie de votre machine à laver et de votre lave-vaisselle. 

 

Vous êtes perdu(e) face à tous ces produits naturels écologiques et leurs utilisations ? Vous n’avez tout simplement pas envie de passer du temps à jouer les chimistes pour réaliser des recettes de produits ménagers maison ? Pour un ménage zéro-déchet et naturel, il y a aussi les solutions SPRiNG (eh oui, vous vous doutiez bien qu’on allait vous en parler !). Des bouteilles réutilisables et des pastilles effervescentes aux ingrédients clean, et vous voilà équipé de produits multi-surfaces, d’un spray qui nettoie les vitres, d’un produit pour l’entretien de la salle de bain, etc.


Qu’est-ce qu’une lessive écologique ?

Une lessive écologique, c’est quoi ? 

Vous aimeriez entretenir votre maison et laver votre linge de façon plus écologique ? On vous rassure, c’est possible, et pas uniquement en faisant tous vos produits vous-même avec du bicarbonate de soude, du savon de Marseille et des huiles essentielles (mais si vous en avez envie, faites-vous plaisir !).
Le problème, c’est plutôt de savoir ce qui définit un produit écologique et d’être certain(e) qu’on n’est pas face à du greenwashing. Allez, on vous aide à y voir plus clair pour que vous puissiez utiliser une lessive ou un soin du linge vraiment plus écologique ! 

Bio et écologique, c’est pareil ? 

Il faut d’abord faire un premier constat : une lessive entièrement biologique, ce n’est pas possible. Pourquoi ? Parce que dans sa formulation, une lessive efficace inclut inévitablement certains produits qui ne peuvent pas être certifiés bio, même s’ils sont naturels (ex. : bicarbonate de soude). Et il faut aussi parfois ajouter des agents qui ne sont pas d’origine naturelle (ils ne sont pas pour autant néfastes, mais ce qui est sûr, c’est qu’ils ne sont pas bio).  

Cela signifie-t-il que l’on doit dire adieu aux lessives qui respectent mieux la planète ? Non, puisqu’il y a les lessives écologiques. Quelle différence avec la lessive bio ou naturelle ? Suivez le guide, on va vous expliquer. 

Une lessive à la composition qui limite l’usage de substances néfastes  

Ce n’est pas vraiment un scoop : dans certaines lessives classiques, on peut trouver des ingrédients issus de la pétrochimie et d’autres substances chimiques qui peuvent s’avérer nocives pour la santé et l’environnement. Pour être véritablement écologique, une lessive doit en être exempte. Les marques doivent alors privilégier des ingrédients d’origine naturelle (qu’ils soient végétaux ou minéraux), sans pour autant devoir se passer d’ingrédients de synthèse, dès lors qu’ils ne sont pas dangereux pour l’environnement. Sans oublier qu’il est favorable d’opter pour des ingrédients d’origine renouvelable, plutôt que d’épuiser des ressources dont on finira par manquer.
En conclusion, le tout est de réaliser une sélection soigneuse et judicieuse des matières premières qui entrent dans la formulation des lessives, afin qu’elles aient impact minimal sur l’environnement.  

Une fabrication ayant un impact moindre sur l’environnement 

Il n’y pas que la composition de la lessive qui compte, mais aussi la façon dont elle est fabriquée. Pour qu’elle soit écologique depuis sa conception, on peut établir plusieurs critères. Lesquels ?  Une gestion responsable des ressources naturelles (comme l’eau par exemple), l’utilisation d’énergies renouvelables (énergie solaire par exemple), une minimisation des déchets de fabrication, etc. Tout cela contribue en effet à réduire le bilan carbone d’une lessive, la rendant plus écologique. 

Un emballage plus respectueux de l’environnement 

Écologique et plastique, ça rime. Pourtant, ces deux notions n’ont rien à faire ensemble. Et le problème avec les lessives, surtout au format liquide, c’est qu’elles sont conditionnées dans des bidons en plastique. Qu’il soit recyclé ou non, ça reste un produit néfaste pour l’environnement, qui n’est pas biodégradable et qui ne sera pas recyclé à l’infini. L’autre souci de la lessive liquide, c’est que son composant principal, c’est l’eau… Au prix des bidons de lessive, cela laisse un peu sans voix, d’autant que l’eau est une ressource que l’on devrait préserver lorsque l’on adopte une démarche écologique.  

Quid de la lessive en poudre ? C’est mieux, mais seulement lorsqu’elle est proposée aux consommateurs dans un emballage carton et sans surplus de plastique.  

Et les capsules de lessive ? C’est une bonne option, à condition qu’elles soient conditionnées également dans une boîte en carton. Leur avantage majeur, c’est que lorsque la formule est concentrée, avec une dose adéquate de produit dans chaque capsule, elles permettent d’utiliser une juste quantité de lessive en machine, sans gaspillage. Ça aussi, c’est plus écoresponsable. 

Enfin, pour le lavage du linge zéro déchet, il y a bien sûr la lessive liquide, en poudre ou en tablettes vendue en vrac. On peut alors la conditionner dans une bouteille en verre ou dans une boîte quelconque réutilisable. Mais la condition est d’avoir un magasin à proximité de chez soi qui vend ce type de produits, et ce n’est pas encore le cas partout en France… 

Un produit certifié par des organismes fiables 

Mais comment on s’y retrouve face à tous ces critères ? Vous pouvez lire la liste d’ingrédients des lessives ou encore vous renseigner sur les marques qui fabriquent les lessives. Mais on ne va pas vous le cacher : c’est parfois un chemin de croix. 

C’est pour cela que vous pouvez compter sur certains labels pour choisir une lessive écologique. Les plus fiables sont sans doute l’Ecolabel Européen ainsi que le label Ecocert Ecodétergent. Ce dernier impose des règles plus strictes, garantissant par exemple des procédés de production et de transformation plus respectueux de l’environnement, une gestion responsable des ressources naturelles, l’absence de nombreux ingrédients pétrochimiques et la valorisation des ingrédients d’origine naturelle. 

En plus de ces critères écologiques, il faut savoir que ces labels imposent des tests d’efficacité. Une lessive écologique ne sera donc pas moins efficace qu’une lessive conventionnelle, liquide, en poudre ou en capsules, pour éliminer les taches sur vos vêtements. 

Les capsules de lessive SPRiNG : laver son linge avec un impact environnemental minime  

Vous avez tout lu jusqu’ici, en vous disant que ça semblait bien compliqué de trouver des marques qui proposent des lessives clean pour la planète et pour votre santé ? Comme on vous comprend… C’est d’ailleurs bien pour ça qu’on a élaboré nos capsules de lessive, avec ou sans parfum. Elles permettent de mettre la juste dose lors du lavage en machine, sans compromis sur l’efficacité pour enlever les taches, sans ingrédients qui laissent à désirer et dans des boîtes sans plastique. En plus, elles vous sont livrées à la maison quand vous en avez besoin : plus besoin de vous déplacer ni de faire des stocks de lessive « au cas où ».


Choisir une lessive bio, naturelle ou écologique ?

Lessive écologique, lessive naturelle, lessive bio : quelle différence ? 

Rendez-vous au rayon lessives et faisons le point : vous avez les marques distributeurs, les grandes marques qui déclinent leurs produits en formule classique ou bio, les marques avec un label écologique, des bidons de lessive liquide, des boîtes de lessive en poudre, des capsules, des dizaines de parfums différents. En résumé, vous êtes perdu face à ce choix et aux nombreux labels. On ne peut pas vous en vouloir, le marketing est redoutable.  

C’est pourquoi il est temps de vous aider à mieux cerner quelques dénominations qui doivent vous interpeller si vous voulez réduire votre impact environnemental. Bio, écologique, naturel, c’est bien ou pas ? Y a-t-il des produits meilleurs que d’autres ? Et pourquoi ce n’est pas pareil ? Gare aux subtilités et aux abus de langage ! 

La lessive naturelle : une appellation parfois utilisée à tort 

À ce jour (précisément le 02 janvier 2023), la législation française impose qu’un produit cosmétique, d’hygiène ou ménager soit au moins à 95 % d’origine naturelle pour pouvoir être qualifié de “naturel”. Une lessive ou produit de soin du linge peut ainsi être vendu comme naturel(le) même si le produit contient 5 % d’ingrédients de synthèse. Jusqu’ici, ce n’est pas vraiment problématique, d’autant que les agents de synthèse ne sont pas tous nocifs pour notre environnement ou notre santé.  

En revanche, il arrive que les marques se revendiquent naturelles à tort ou jouent sur les mots pour prôner la naturalité de leur lessive liquide ou en poudre, et ça on aime moins.  

 

La lessive biologique : contrôlée, mais pas irréprochable 

Les lessives certifiées biologiques ne sont pas les plus courantes, mais elles existent. L’avantage, c’est justement la certification, octroyée par des organismes indépendants. Alors, la lessive bio est-elle le Saint Graal pour laver son linge sans impact nocif pour l’environnement ? Malheureusement, non. À moins qu’il s’agisse d’une lessive uniquement à base de savon de Marseille bio et d’eau (voire d’huile essentielle bio), mais vous auriez sûrement tout intérêt à la faire vous-même.  

En effet, de nombreux composants des lessives liquides ou en poudre ne peuvent pas être issus de l’agriculture biologique et ne sont donc pas certifiés (ex. : bicarbonate de soude, perborate de sodium, etc.). C’est d’ailleurs tout aussi vrai avec l’alimentaire : un produit transformé peut être considéré biologique même si 100 % de sa composition ne l’est pas. 

Il faut toutefois reconnaître que l’apposition d’un logo Ecocert ou bio CEQ, par exemple, apporte certaines garanties. Le cahier des charges inclut notamment l’interdiction de certaines substances nocives pour la santé et l’environnement, une composition très majoritairement à base d’ingrédients d’origine naturelle, etc. Mais certaines lessives respectent aussi ces conditions sans avoir de label. 

À noter : qui dit lessive bio ne dit pas forcément lessive efficace à toute température, adaptée aux peaux sensibles, à la peau de bébé ou à tous les types de vêtements. 

La lessive écologique : l’importance de la composition, mais pas seulement 

Contrairement à l’appellation « naturel », la législation est bien plus stricte quant au concept de produit “écologique”. Il existe de nombreuses règles qui encadrent l’usage de cette dénomination pour tous types de produits, allant du nettoyant multi-usage à la lessive liquide en passant par le détachant en poudre. Des labels comme Ecocert et Ecolabel en sont garants et permettent d’attribuer des certifications fiables et sérieuses pour les lessives écologiques. 

Pour savoir si une lessive est écolo, vous pouvez donc vous référer au label, mais aussi à quelques critères clés. Selon notre humble avis (et selon les cahiers des charges des labels écologiques également), pour qu’une lessive puisse être qualifiée d’écologique, elle ne doit pas avoir d’impact environnemental. C’est donc presque impossible, puisque fatalement, l’usage d’une lessive implique l’extraction de matières premières, leur transformation, l’utilisation d’énergie et d’eau pour faire tourner la machine, etc. On parle alors plutôt de lessive « plus écologique » que la moyenne, dès lors que : 

  • la composition (agents de blanchiment, agents de surface, parfum, savon, etc.) inclut des ingrédients d’origine naturelle ou des matières au moindre impact environnemental ; 
  • le lavage en machine est efficace sur toutes les taches à basse température ; 
  • la formule est concentrée, permettant des lavages de qualité avec un dosage juste ;  
  • l’emballage est exempt de plastiques (bye bye les bidons de lessive liquide, sauf si vous optez pour un produit zéro-déchet avec contenant rechargeable). 

Plus que les simples agents et substances qui composent la lessive, c’est donc toute sa conception qui doit être prise en considération pour évaluer son impact sur l’environnement. 

Et on le répète : si certains labels peuvent vous aider à y voir plus clair dans le choix d’une lessive éco-responsable, comme le label Ecocert (Ecodétergent) ou l’Écolabel européen, pensez à vérifier la liste des ingrédients d’un produit pour vous faire votre propre avis et réaliser un comparatif. Cela vaut aussi bien pour une lessive que pour un nettoyant de surface, un produit d’entretien de la maison, un adoucissant du linge, un liquide vaisselle pour le lavage à la main, etc. 

Laquelle on choisit pour laver son linge ? 

Vous en savez plus, mais êtes-vous vraiment plus avancé sur le choix de votre lessive ? Sauriez-vous dire quels sont les meilleurs produits pour laver votre linge en respectant l’environnement, votre peau et votre bien-être ? Pas sûr, et vous êtes peut-être même un peu dépité. Comment allier emballage recyclable, absence de danger pour la santé et qualité de lavage pour vos vêtements ? C’est une question légitime, à laquelle nous avons une réponse à apporter avec nos capsules SPRiNG, eh oui. On ne vous fait pas à tout prix miroiter une formule biologique, éco-labellisée, bonne pour votre santé ou « écologique ». En revanche, on sait qu’on vous propose une lessive clean, sans matières toxiques ou controversées. On sait aussi qu’il est très compliqué de s’y retrouver dans la liste des ingrédients au dos d’un bidon ou d’une boîte de lessive. C’est pourquoi, chez SPRiNG, la fiche produit vous explique à quoi sert chaque ingrédient et quel est son rôle dans la lessive.  

Vous pouvez même choisir une formule sans parfum pour respecter au mieux votre peau sensible ou la peau de votre bébé.
C’est tout ? Vous imaginez bien que non ! Les doses de lessive sont ultra-concentrées, pour un lavage en machine efficace avec une petite quantité de produit, quelles que soient les taches. Elles sont également efficaces à basse température. Et en plus, leur boîte est sans plastique (en carton, et donc facilement recyclable). On ne vous dira pas qu’on est les meilleurs, mais on fait de notre mieux !