Tout ce que vous devez savoir sur les balles de séchage
Non non ce n’est pas le nouveau jouet que votre fils a ramené de l’école mais bien le nouvel allié de votre sèche-linge. Quelques balles qui vous permettent de faire des économies et d’améliorer l’efficacité de votre sèche-linge. Encore un produit miracle qui ne fonctionne pas ou bien celui que vous conseillerez à tout·e·s vos ami·es ? On vous dit tout sur les balles de séchage !
Qu’est ce qu’une balle de séchage ?
Les balles de séchage sont en laine, en coton, en plastique ou en aluminium. Nos préférées sont bien sûr celles en laine ou coton. On vous laisse deviner pourquoi !
Mais à quoi ça sert ? Les balles de séchage permettent de réduire le temps de séchage de 25 à 30% et d’assouplir vos vêtements.
Les balles permettent de séparer les vêtements en réduisant l’électricité statique pendant que votre sèche-linge tourne. Les vêtements se séparent, le flux d’air augmente, et tout sèche plus vite. On vous a dit qu’on préférait celles en laine notamment car elles absorbent également de l’eau contrairement à celles en plastique.
Votre linge sèche mieux et plus vite, vous pouvez donc choisir un cycle court. Plus de performance en utilisant moins d’énergie, on adore !
Ajouter des balles de séchage vous permet de faire des économies d’énergie, votre portefeuille vous dit merci. Vous ne rajoutez pas de produits chimiques pour réduire les plis de vos vêtements, on vous dit merci. Celui ou celle qui fait le repassage aussi…
Comment ça marche ?
Honnêtement il n’y a rien de plus simple. Mettez 3 à 6 balles de séchage en laine dans le sèche-linge en fonction de la quantité de linge à sécher. Voilà vous savez comment faire.
On a quand même quelques petits conseils à vous donner : placez les balles de séchage au cœur du linge et ne surchargez jamais le sèche-linge.
À une époque où tous les objets ont une espérance de vie ultra courte, les balles de séchage vont à contre-courant avec leur moyenne de 500 séchages. On vous laisse faire le calcul. Mais ce qu’on peut vous dire c’est qu’elles vont en faire des tours !
Quelles balles de séchage choisir ?
On vous a fait un petit classement des balles de séchage pour vous aider à choisir celles qui vous correspond le mieux.
3. Balles de séchage en aluminium
Vous avez peut-être déjà vu cette astuce qui consiste à former des boules avec du papier aluminium et de les mettre dans votre sèche-linge. Ça part d’une bonne idée économique mais l’aluminium va s'effriter au fur et à mesure et en plus ne pourra pas absorber l’eau. Il est abrasif pour vos tissus, vous risquez d'abîmer vos habits.
2. En plastique
On vous passe le moment déprime où on vous parle des nouvelles révélations sur les dangers du plastique sur notre santé et celle de la planète.
Alors si on peut ne pas utiliser un autre produit en plastique dans notre routine ménage, on le fait ! D’ailleurs on vous propose de nombreux produits ménagers sans plastique et sans matières controversées !
En plus la balle de séchage en plastique n’absorbe pas l’eau… Trop nul.
1. En laine
C’est la balle de séchage de meilleure qualité. Elle fait bien circuler l’air, est résistante et permet de retenir l’humidité contrairement à ses 2 prédécesseurs. En plus elles permettent également de jouer à la pétanque dans votre appartement/maison.
D’ailleurs si on vous dit qu’on a des balles de séchage 100% en laine, qui éliminent l’électricité statique, vous permettent de réduire de 25% le temps de séchage et adoucissent votre linge, ça vous intéresse ?
Tout comprendre aux étiquettes pour la lessive
Face aux logos de vos étiquettes de vêtements, vous avez lâché l’affaire ? Vous ne savez jamais quelle est la différence entre le triangle, le rond barré, le carré avec des traits ? Pourtant, ces logos n’ont rien de signaux extra-terrestres ou d’un langage codé venu d’un autre temps. Ils peuvent non seulement être facilement décryptés, mais surtout, s’ils existent, c’est parce qu’ils sont très utiles pour bien prendre soin de votre linge.
Pourquoi faut-il bien lire les étiquettes de lavage des vêtements ?
Si votre jean a rétréci au dernier lavage ou si votre pull en laine n’est plus aussi doux qu’à ses débuts, peut-être que c’est parce que vous n’utilisez pas les bons programmes en machine à laver et au sèche-linge. D’ailleurs, il se peut même que vous passiez vos vêtements en machine alors qu’il faudrait les laver à la main et les faire sécher à l’air libre.
Cela peut arriver à tout le monde : on préfère gagner du temps et optimiser le remplissage du tambour en mélangeant des textiles qui se ressemblent, sans forcément prêter attention aux instructions sur l’étiquette. Pourtant, ces informations peuvent vous être d’une grande aide pour un entretien du linge adéquat et ainsi faire durer vos vêtements plus longtemps (et éviter de passer de la taille L à la taille S à cause d’un cycle inapproprié !).
Quels sont les différents types de logos et leur signification ?
Pour bien comprendre les différents symboles pour faire sa lessive, sécher le linge et le repasser, rien de tel que de les passer tous en revue, avec quelques petits conseils et explications.
Les logos pour le lavage du linge
Le premier pictogramme que l’on voit sur une étiquette de vêtement, de drap ou d’autre type de linge, c’est celui qui fait référence au lavage. On le reconnaît facilement, puisqu’il représente une bassine remplie d’eau. Elle se décline alors en plusieurs logos selon le type de nettoyage et la température :
- Si la bassine est barrée, cela signifie que vous ne devez pas laver le vêtement, ni au lave-linge, ni à la main. Il faudra alors le confier à un professionnel en vous rendant dans un pressing. Ce dernier pourra alors réaliser un nettoyage adapté, en se référant lui aussi à l’étiquetage de lavage en machine ainsi qu’aux symboles dédiés au nettoyage à sec (cercle barré ou lettre P dans un cercle).
- Si une main est plongée dans la bassine d’eau, alors le message est simple à comprendre : le nettoyage doit se faire à la main.
- Pour les bassines qui indiquent un nombre, cela fait référence à la température maximale de l’eau pour le lavage en machine. Le plus souvent, on voit apparaître une température de 30°C, 40°C, voire 60°C, et dans de plus rares cas, de 95°C (pour le coton blanc et le lin avec des taches tenaces par exemple, ou pour éliminer les bactéries de linge de toilette, les punaises de lit des draps, etc.).
Pour le lavage, c’est donc assez simple, et il n’y a pas de risque que vous vous trompiez ! À condition simplement de jeter un œil à l’étiquetage.
D’ailleurs, il faut aussi que vous soyez attentif aux traits parfois dessinés sous la bassine. S’il y a un trait, il faudra lancer un cycle de type “synthétique”, moins agressif qu’un programme “coton”, avec un essorage modéré. Avec deux traits, il faudra opter pour un programme délicat (laine, soie, etc.), qui permet une action mécanique légère ainsi qu’un essorage réduit, pour ne pas abîmer les fibres textiles. On peut aussi vous conseiller de réduire la quantité de linge dans le tambour pour le lavage de ce genre d’articles.
Les pictogrammes pour le blanchiment
Après les symboles de lavage, vient le logo du triangle. Il permet de savoir si le blanchiment du linge est autorisé (triangle classique) ou interdit (triangle barré d’une croix). Dans ce deuxième cas, cela signifie qu’il ne faudra pas utiliser d’agent blanchissant, qu’il s’agisse d’un produit oxygéné ou à base de chlore.
Vous pourrez également voir un pictogramme de triangle comportant deux traits en diagonale. L’usage d’un produit blanchissant à l’oxygène est alors possible, tout comme le détachage avec notre produit en poudre à l’oxygène actif.
Les instructions pour le séchage
Même si vous avez utilisé le bon cycle (température maximale respectée, essorage adapté, programme convenant au type de textile) et choisi la lessive qui convient au linge, il ne faudrait pas gâcher ces efforts au moment de le faire sécher.
Là encore, tout est inscrit sur l’étiquette du vêtement, avec d’abord le symbole pour le sèche-linge, représenté par un rond dans un carré. Les instructions à suivre sont les suivantes :
- le symbole barré indique que le linge ne doit pas être mis au sèche-linge ;
- le logo avec un point au milieu du cercle permet un séchage en machine, à basse température (60°C maximum) ;
- le schéma avec deux points au centre du cercle autorise le séchage au sèche-linge avec un programme normal.
Pour le séchage, d’autres informations peuvent également apparaître sur l’étiquette. Elles prennent la forme d’un carré, dans lequel on voit soit des traits verticaux, soit des traits horizontaux. Cela signifie que le séchage doit se faire à l’air libre et permet d’obtenir des conseils sur la façon d’étendre le linge :
- un carré avec un trait vertical => essorage en machine, puis séchage naturel sur fil ;
- un carré avec deux traits verticaux => pas d’essorage et séchage sur fil ;
- un carré avec un trait horizontal => séchage à plat après essorage ;
- un carré avec deux traits horizontaux => séchage à plat également, mais sans essorage préalable.
Si le carré comporte également un trait diagonal dans le coin supérieur gauche, cela vous indique que le séchage naturel doit se faire à l’ombre (pour préserver les couleurs par exemple).
Les symboles pour le repassage des vêtements
Dernière étape dans l’entretien du linge : le repassage. Et sans surprise, le symbole qui permet d’avoir toutes les informations à ce sujet représente… un fer à repasser. Comme pour tous les pictogrammes, lorsqu’il est surmonté d’une croix, c’est que le repassage est interdit sur ce textile. Le repassage est possible lorsque le symbole du fer à repasser comporte un ou plusieurs points à l’intérieur :
- un point pour un repassage à 110°C maximum ;
- deux points pour repasser à une température de 150°C maximum ;
- trois points pour un repassage à haute température (200°C maximum).
Suivant votre modèle de fer à repasser, vous pourrez soit régler précisément la température, soit vous fier aux points représentés sur la molette de réglage, ou encore choisir le programme qui correspond au textile à repasser (ex. : soie, laine, coton, lin, etc.).
Comment bien prendre soin de mon linge ?
Pour maximiser la durée de vie de votre tenue préférée, éviter les taches tenaces ou encore profiter d’un linge de maison tout doux en sortie de machine, il y a quelques astuces à ne pas négliger. Eh oui, votre linge aussi mérite qu’on prenne soin de lui pour qu’il reste beau, propre et confortable, pour longtemps. On vous livre donc ici les bonnes habitudes à prendre pour détacher, laver et sécher le linge : vous verrez, ça ne vous demandera pas plus d’effort, juste un peu d’attention !
Regarder attentivement les logos sur les étiquettes
Avez-vous déjà (vraiment) prêté attention à l’ensemble des petits logos qui se cachent sur les étiquettes à l’intérieur de vos vêtements ? Eh bien, vous devriez, car ils concentrent toutes les informations utiles pour en prendre soin : lavage, séchage et repassage.
Les symboles pour le lavage du linge
On ne va pas se mentir, on est un peu tous pareils : on regarde la température indiquée sur l’étiquette et on se dit qu’on peut passer le vêtement en machine à cette température, point barre. C’est déjà un bon réflexe à vrai dire, car cela vous évitera de laver votre linge à une eau trop chaude, qui risquerait de le rétrécir ou de l’abîmer. Mais ce n’est pas tout : la bassine remplie d’eau peut aussi comporter un ou plusieurs traits en dessous : si c’est le cas, il faut utiliser un programme de lavage délicat et un essorage minimal.
Et on n’oublie pas le dernier type de logo : la bassine d’eau et la main. Dans ce cas, pas de passage en machine, mais un lavage à la main.
Les indications pour le séchage en machine
Adepte du sèche-linge ? Pour éviter qu’il n’endommage vos vêtements, pensez aussi à regarder les pictogrammes représentant un rond dans un carré. S’il est barré : pas de séchage en machine. S’il comporte un point, il faudra sécher à basse température (60°C maximum) et s’il a deux points, alors vous pouvez utiliser un programme allant jusqu’à 80°C.
Les logos pour le repassage des vêtements
Une fois lavé et séché, votre linge mérite encore toute votre attention, au moment de repasser. Le picto en forme de fer à repasser des années 60 est là pour vous guider (et il fonctionne aussi si vous avez une centrale vapeur ou le fer à repasser dernière génération). S’il est barré, le message est clair : pas de repassage.
S’il contient un, deux ou trois points, alors vous pouvez repasser le vêtement, respectivement à température basse, moyenne ou élevée.
Pour prendre soin de votre linge, on vous rappelle également qu’il est important que le fer à repasser soit propre et sans tartre. Sinon, il va indéniablement laisser des traces sur les vêtements.
Choisir une lessive adaptée au type de textile
Pour le coton, le lin et beaucoup de matières synthétiques, une lessive classique peut convenir. On entend par là une lessive “tous textiles”, qui pourra laver vos vêtements sans risque de les abîmer. Libre à vous de choisir une lessive conventionnelle ou avec un label bio, un label écologique, une formule hypoallergénique sans parfum pour les peaux sensibles, etc., ou de confectionner votre lessive maison avec du savon de Marseille par exemple. Les doses de lessive SPRiNG conviennent aussi tout à fait à cet usage, que vous choisissez le parfum air frais, fraîcheur verte, savon végétal ou la formule sans parfum. En plus, pas besoin de vous rendre en magasin pour vous les procurer, car on s’occupe de la livraison à la maison !
Pour des vêtements délicats (ex. : pull en cachemire, top en soie, chaussettes en angora, sous-vêtements avec dentelle, etc.), il est conseillé de choisir un produit conçu pour ce type de tissu. La lessive “linge délicat” permet en effet de prendre soin des fibres, de conserver leur souplesse, d’éviter les peluches, etc., à condition de laver à la bonne température, voire à la main selon les préconisations. Chez SPRiNG, on a aussi des doses de lessive adaptées à ce type de vêtements, avec la gamme “Douceur et Soin”.
Pour prendre soin du linge blanc, il y a également quelques astuces et produits à connaître. On y a dédié un article complet, pour que le blanc reste ou redevienne blanc.
S’occuper des taches avant le lavage en machine
Vous avez taché un t-shirt avec du vin rouge ? Du sang a taché vos draps ? Votre torchon comporte des taches de graisse ? Il y a plusieurs produits naturels et des détachants spécifiques qui vous aideront à les éliminer. En revanche, le détachage doit être effectué au plus vite et préalablement au lavage en machine. Cela évitera que la tache s’incruste dans le textile et vous permettra de retrouver un linge véritablement propre. Pour les taches, les plus difficiles, n’hésitez pas à ajouter une dose de détachant dans le tambour (comptez par exemple sur le détachant en poudre de SPRiNG, qui offre une réelle efficacité tout en préservant le blanc et les couleurs).
Faire sécher les vêtements à l’air libre
Si vous avez un extérieur, l’idéal est d’y étendre votre linge, pour un séchage à l’air libre. À condition bien sûr qu’il ne pleuve pas. Ce type de séchage naturel permet au linge d’avoir une bonne odeur de frais, de profiter de la brise et du soleil pour sécher rapidement, et tout cela sans l’abîmer.
Vous ne pouvez pas étendre vos vêtements dehors ? Vous avez besoin d’un séchage rapide ? Vous pouvez alors envisager le sèche-linge, si l’étiquette sur le vêtement l’autorise. Veillez à utiliser le programme adapté, et pour un linge adouci, pensez aux balles de séchage ! Elles détendent les fibres, tout en permettant la réduction du temps de séchage : c’est plus économique et plus écologique.
Prendre soin de sa machine à laver
Comme le lave-vaisselle, le lave-linge est un appareil électroménager qui a besoin d’être entretenu et lavé régulièrement. Effectivement, comment avoir une machine à laver qui offre de bons lavages alors qu’elle est elle-même encrassée ? Notre conseil, c’est de détartrer plusieurs fois par an, en utilisant un produit naturel : le vinaigre blanc. Versez un verre de vinaigre dans le tambour, puis faites tourner à vide à haute température. Prenez aussi le temps d’enlever et de laver le bac à détergents, avec du liquide vaisselle ou un savon liquide (type savon noir par exemple).
N’oubliez pas non plus les filtres et les joints du tambour, où les saletés aiment se loger, empêchant des lavages efficaces et diffusant de mauvaises odeurs.
Lessive bébé : attention aux allergies
La peau sensible est une problématique qui peut toucher les adultes et les enfants, et qui est presque toujours présente chez les bébés. C’est pourquoi il faut utiliser des produits d’hygiène adaptés pour les tout-petits, choisir des vêtements sans matières irritantes, un matelas certifié sans substances néfastes, etc.
Mais aviez-vous aussi pensé à la lessive et autres produits destinés au soin du linge ? Certains contiennent en effet de nombreux allergènes, qui peuvent engendrer une réaction cutanée lorsque bébé porte un vêtement passé en machine.
C’est pourquoi on a décidé de vous donner quelques conseils pratiques pour reconnaître une allergie à la lessive et pour trouver la solution la plus adaptée pour la peau de votre bébé.
Pourquoi une lessive peut-elle créer des réactions allergiques ?
Certaines lessives que l’on retrouve sur le marché conventionnel contiennent des ingrédients allergènes. Autrement dit, ce sont des substances qui peuvent entraîner des allergies chez les personnes qui y sont sensibles. Elles ne vont pas systématiquement générer une crise d’urticaire ou des démangeaisons pour quiconque entre en contact avec elles. Toutefois, la peau fragile et sensible d’un bébé réagit souvent à ces allergènes.
Alors, quels sont ces ingrédients responsables d’allergies potentielles ? Il y en a une longue liste :
- les conservateurs, utilisés dans beaucoup de lessives au format liquide ;
- les parfums, qu’ils soient synthétiques ou naturels (par exemple, les huiles essentielles utilisées pour parfumer une lessive peuvent entraîner une réaction allergique et certaines sont néfastes pour la santé des bébés et des jeunes enfants) ;
- les colorants, qui n’ont d’ailleurs aucun intérêt fonctionnel et qui permettent juste de proposer une lessive plus “attrayante” ;
- les azurants optiques (agents de blanchiment).
Pour le dire plus succinctement : presque toutes les lessives classiques contiennent donc potentiellement des substances allergisantes, dont certaines peuvent en plus présenter d’autres risques pour la santé des enfants et des parents.
Gardez aussi à l’esprit que ce n’est pas parce qu’un produit de soin du linge est certifié “bio” ou estampillé “écologique” qu’il ne contiendra aucun allergène.
Quels sont les symptômes d’une allergie à la lessive chez un nourrisson ?
Chez un bébé, comme chez un enfant ou un adulte ayant la peau atopique ou sensible d’ailleurs, plusieurs signes permettent de déceler une allergie à la lessive. Les symptômes suivants doivent ainsi vous alerter :
- de l’eczéma (aussi appelé dermatite atopique) qui fait apparaître des plaques rouges, des squames et des démangeaisons ;
- de l’urticaire, caractérisée par des plaques rondes en relief sur la peau ;
- des petits boutons, etc.
Ce sont donc presque toujours des réactions cutanées, que l’on peut apercevoir à l’œil nu et qui font que bébé se gratte.
Le problème, c’est que ces types de réactions peuvent aussi être évocateurs d’une allergie alimentaire, d’une allergie aux animaux, d’une allergie aux acariens, d’allergies respiratoires, etc. Il n’est donc pas toujours aisé de savoir si le problème vient effectivement de la lessive. Cependant, si vous remarquez que la réaction cutanée se développe rapidement après avoir habillé bébé avec des vêtements propres, c’est un signe à ne pas négliger.
En cas de doute, pensez à consulter votre médecin généraliste, votre pédiatre ou pourquoi pas un allergologue ou un dermatologue. Des tests permettront d’identifier les causes de l’allergie.
Vous pouvez également décider de changer de lessive pour voir si votre bébé souffre toujours des mêmes symptômes.
Comment éviter les allergies causées par la lessive ?
Rassurez-vous, on ne va pas vous dire qu’il faut arrêter de laver les vêtements de votre enfant pour éviter tout risque d’allergie. Pas besoin non plus de scruter à la loupe chaque ingrédient qui compose les lessives pour trouver celle qui conviendra aux peaux sensibles de toute la famille.
Éliminer les résidus de lessive au lavage
Parfois, les réactions allergiques causées par la lessive peuvent être évitées en effectuant un lavage plus approprié des vêtements de bébé. En effet, si le produit de soin du linge est mal dosé par exemple, il se peut que des résidus restent sur le textile. Opter pour une lessive en capsule est l’une des solutions pour éviter cette erreur de dosage.
Le rinçage a également son importance : si la machine ne rince pas correctement (parce qu’elle est encrassée, parce qu’elle n’est pas de première jeunesse, parce que vous utilisez le mauvais cycle…), des résidus de lessive peuvent rester sur le linge, et ainsi provoquer une réaction cutanée sur les peaux sensibles.
Mais si vous voulez vraiment de bons conseils, on peut vous dire que le mieux reste de changer de lessive pour éviter les moindres risques.
Fabriquer une lessive maison
Vous voulez maîtriser entièrement les composants de votre lessive pour éviter les irritations et autres réactions cutanées dont souffre votre bébé ? Une solution peut être de préparer vous-même la lessive que vous utiliserez en machine ou pour le lavage à la main.
Trop compliqué ? Trop long ? En réalité non. À l’aide de quelques ingrédients d’origine naturelle et des recettes simples, vous pouvez y parvenir. On a d’ailleurs préparé un article complet sur le sujet pour vous aider dans cette mission !
Il vous suffira de sélectionner des matières premières hypoallergéniques (anti-allergies) pour faire votre lessive maison, telles que le savon de Marseille, le savon noir, le bicarbonate de soude, etc. Et si l’on veut une lessive avec du parfum ? Ajoutez des ingrédients naturels comme les huiles végétales, avec par exemple l’huile d’amande douce, l’huile de coco, etc. Elles donneront un parfum subtil et sans danger pour la santé à votre recette de soin pour le linge fait maison !
Choisir une lessive hypoallergénique
Si vous préférez acheter une lessive prête à l’emploi sans risque d’allergie, il y a également des formules conçues pour empêcher l’apparition d’eczéma, de boutons, d’urticaire et de démangeaisons, pour les bébés comme pour leurs parents. On peut retrouver ces lessives sous plusieurs dénominations, comme “lessive pour peaux sensibles”, “lessive pour bébé”, “lessive pour toute la famille”, etc. Mais surtout, fiez-vous à la mention “hypoallergénique” ou “sans allergènes”.
Chez SPRiNG, toutes nos formulations sont proposées sans matières controversées ni allergènes étiquetables. On a même concocté des lessives “Douceur et Soin” qui ne contiennent ni allergènes étiquetables ni enzymes, pour respecter au mieux les peau sensibles. Elle a même été testée sous contrôle pédiatrique et convient aux tout-petits. Il y a aussi les capsules de lessive sans parfum, pour dire définitivement adieu aux allergies et aux réactions de la peau atopique !
Comment utiliser du vinaigre blanc en tant qu'adoucissant ?
Quand on sait ce que peuvent contenir certains adoucissants, en particulier au format liquide (conservateurs, parfums de synthèse, etc.), il est tentant de chercher une formulation plus simple et moins nocive pour la santé et l’environnement. Cela est d’autant plus vrai pour les personnes ayant la peau sensible et qui peuvent souffrir de réactions cutanées au contact des allergènes contenus dans la lessive ou l’assouplissant.
Et si la solution de remplacement peut par la même occasion être disponible à petit prix, pourquoi s’en priver ? C’est pour ces raisons que l’on entend de plus en plus parler de l’astuce du vinaigre pour adoucir son linge à chaque lavage. Effectivement, ça fonctionne ! On vous explique comment bien utiliser cet ingrédient naturel pour un résultat efficace.
Le vinaigre blanc peut-il remplacer l’adoucissant habituel ?
L’adoucissant, ou assouplissant, peut être utilisé pour deux raisons principales : réduire la dureté de l’eau de rinçage pour rendre les textiles plus doux et parfumer le linge.
Et comment réduit-on la dureté de l’eau ? En éliminant le calcaire qu’elle contient, ou du moins en réduisant les proportions de carbonate de calcium et de carbonate de magnésium qui sont les oligo-éléments à l’origine de l’eau calcaire. Et devinez quoi ? Le vinaigre blanc est un produit naturellement anti-calcaire, du fait de son acidité. Il peut donc sans problème venir en remplacement d’un adoucissant conventionnel si l’objectif est d’avoir des vêtements plus souples à la sortie du lave-linge. C’est pour la même raison que l’on peut également utiliser du jus de citron comme adoucissant, qui aura par ailleurs un pouvoir blanchissant sur les taches jaunes de vos vêtements.
Cet usage du vinaigre vous permettra par la même occasion de faire un entretien régulier de la machine, sans même vous en rendre compte.
Mais quant est-il du parfum ? La question se pose, car le vinaigre blanc n’est pas franchement le produit qui dégage l’odeur la plus agréable. D’abord, soyez rassuré, car quand vous l’utilisez comme adoucissant en machine, il ne laisse pas cette odeur sur les vêtements, s’évaporant au séchage. D’ailleurs, il ne laisse pas d’odeur du tout. Alors, quelle est l’astuce pour que le linge sente bon malgré tout ? Il y a les huiles essentielles, que l’on peut mélanger au vinaigre blanc, à raison de quelques gouttes. Mais il y a quelques petites choses à savoir à ce sujet :
- ces huiles concentrées peuvent causer des allergies (vérifiez donc au préalable avec une petite goutte sur votre peau, dans le pli du coude) et sont vivement déconseillées chez les jeunes enfants ;
- il existe des HE qui risquent de tacher le linge (ex. : jasmin, patchouli, mandarine, etc.), tandis que d’autres seront parfaitement adaptés à tous types de textiles et couleurs, comme l’huile essentielle de lavande, de citron, de tea tree, etc. ;
- ne versez pas une grande quantité d’huile essentielle dans votre vinaigre, mais seulement quelques gouttes, car c’est un actif naturel très puissant.
Utilisé nature ou avec des huiles essentielles, le vinaigre blanc ne requiert donc pas la préparation d’une recette complexe pour faire office d’assouplissant.
Quel vinaigre utiliser pour un linge plus doux ?
Si cela peut sembler une évidence, le rappeler vous évitera les mauvaises surprises : on utilise uniquement du vinaigre BLANC en guise d’adoucissant. Même si les vinaigres de cidre, rouge, balsamique et autres sont supers pour la vinaigrette et les sauces, ils n’ont rien à faire parmi vos produits d’entretien de la maison et du linge.
Mais quel vinaigre blanc faut-il choisir exactement ? Si vous utilisez du vinaigre de cuisine, cela ne fera pas de mal à votre linge. Mais le pouvoir adoucissant sera limité. Il faut donc privilégier un vinaigre ménager, titrant à au moins 10°, idéalement 14° voire 20°. Plus le pourcentage ou le titre en degrés mentionné sur la bouteille est élevé, plus le vinaigre contient d’acide acétique. Autrement dit, plus il sera efficace pour empêcher les dépôts de tartre et réduire la dureté de l’eau lors du rinçage.
Où verser le vinaigre blanc dans sa machine à laver ?
L’utilisation de vinaigre blanc est la même qu’avec un adoucissant classique. Versez-le ainsi dans le bac de la machine dédié à ce type de produits. Vous ne savez pas de quel bac il s’agit ? L’astuce pour le trouver est très simple : c’est le compartiment avec un logo de fleurs à 6 pétales.
Quelle quantité de vinaigre pour un effet assouplissant ?
Quand vous utilisez un adoucissant du commerce, vous pouvez généralement lire le dosage conseillé sur le bidon ou la bouteille. Mais avec le vinaigre blanc, comment faire ? Ajoutez un demi-verre dans le bac, soit environ 12 cl. C’est le dosage préconisé dans la plupart des cas. La quantité dépend toutefois de deux autres critères : versez par exemple un verre entier si l’eau est très calcaire chez vous et/ou si votre lave-linge fait 8 kilos ou plus.
Y a-t-il d’autres produits naturels adoucissants ?
D’autres recettes sont envisageables pour la préparation d’un assouplissant maison. On peut notamment utiliser du gros sel, du sel d’Epsom, du bicarbonate de soude, de l’acide citrique, etc. pour réaliser un adoucissant en poudre. Ces ingrédients naturels sont en effet connus pour leurs capacités à adoucir l’eau, et donc à rendre les vêtements plus souples, tout en entretenant la machine à chaque lavage.
Faire le choix d’un assouplissant maison en poudre peut par ailleurs être plus écologique, car les ingrédients peuvent être conditionnés dans des emballages en carton, là où le vinaigre blanc est souvent vendue en bouteille plastique.
Ces astuces n’ont pas suffi à vous donner l’envie de préparer votre propre recette d’assouplissant ? Sachez que vous pouvez utiliser un adoucissant prêt à l’emploi, meilleur pour votre santé et pour l’environnement en faisant le choix du produit en poudre formulé par SPRiNG. Il ne contient pas d’ingrédients controversés ni d’allergènes étiquetables, et laisse un parfum frais sur vos vêtements, comme notre lessive d’ailleurs.
Ce produit vous est livré à la maison dans une boîte en carton et vous permettra d’adoucir votre linge pour 30 lavages.
Nos top astuces pour que votre linge soit toujours blanc
Votre petite robe blanche d’été préférée a jauni ? Vos T-shirts blancs font grise mine ? Vos draps blancs n’ont plus rien d’éclatant ? C’est une problématique que tout le monde a sans doute déjà rencontrée, avec dépit. Pourtant, il existe des astuces pour préserver le blanc de son linge, et même pour retrouver le blanc originel d’un vêtement qui aurait terni. Ça vous intéresse ? Alors, on vous rend service avec nos conseils !
Séparer le blanc et les couleurs au lavage
On le reconnaît, cette astuce n’est pas un secret, mais il nous semblait bon de le rappeler : pour qu’un vêtement blanc reste blanc, il ne doit pas être passé en machine avec des vêtements colorés. Le lavage à l’eau à plus ou moins haute température peut en effet décolorer les vêtements. Au lieu de disparaître dans la nature, les pigments vont malheureusement vouloir s’accrocher… aux vêtements blancs et clairs !
Et si on n’a pas vraiment le choix ou si on veut optimiser le remplissage de son appareil électroménager en mélangeant blanc et couleurs ? Il a les lingettes anti-décoloration, à placer directement dans le tambour dans la machine avant de lancer le cycle.
Programmer un cycle à bonne température
Un bon réglage de la température lorsque vous lavez en machine est crucial pour plusieurs raisons : cela permet de préserver la qualité des fibres du linge, d’éliminer correctement les taches, de faire des économies d’énergie quand c’est possible, mais aussi de préserver la couleur originelle des vêtements. Quel que soit le tissu de vos habits blancs (coton, lin, laine, etc.), faites donc attention à la température de lavage maximale conseillée et au type de lavage autorisé (en machine ou uniquement à la main).
Utiliser des soins du linge adaptés au blanc
Toutes les lessives n’ont pas la même composition ni les mêmes propriétés de lavage. Que vous soyez plutôt adepte des capsules de lessive, de la lessive liquide ou de la lessive en poudre, veillez donc à choisir un produit de qualité qui vous garantit une bonne préservation du blanc.
Pour le détachant, privilégiez la version en poudre, qui contient presque toujours des agents détachants efficaces au pouvoir blanchissant. En tout cas, c’est vrai dans la formule conçue par SPRiNG. En l’utilisant avec vos vêtements et votre linge de maison blancs, vous éliminerez toutes les taches tout en retrouvant un linge éclatant à la sortie de la machine.
Faire confiance à certains produits naturels
Oui, il existe des produits blanchisseurs dans le commerce, qui ont prouvé leur efficacité. Ont-ils également tous prouvé qu’ils avaient une composition clean ? Pas toujours. C’est pourquoi vous pouvez tout à fait préférer des produits d’origine naturelle peu coûteux pour préserver le blanc de votre linge ou blanchir un vêtement terni.
Les ingrédients à ajouter lors du lavage en machine
Parmi les différentes astuces pour enlever les taches tout en préservant ou renforçant le blanc du linge, il y a l’utilisation de produits directement dans le bac à détergent ou dans le tambour. C’est très simple, ça ne vous demande aucun effort et c’est efficace. What else ?
Ainsi, ajoutez par exemple une ou deux cuillères à soupe de bicarbonate de soude ou de percarbonate de sodium dans le tambour de la machine, puis lancez le cycle. S’il y a des taches particulièrement incrustées, vous pourrez privilégier les cristaux de soude. Deux cuillères à soupe feront l’affaire, et permettront dans le même temps d’éliminer le tartre présent dans la machine.
Pas de bicarbonate ou de cristaux de soude sous la main ? Mélangez un sachet de levure chimique à votre lessive et faites tourner le cycle normalement.
Le vinaigre blanc, star de l’entretien de la maison, a également des propriétés blanchissantes. Deux solutions s’offrent à vous : ajoutez un peu de vinaigre blanc à votre lessive ou utilisez-le comme adoucissant, dans le compartiment dédié de la machine.
Le jus de citron a à peu près le même effet que le vinaigre et peut être mélangé à la lessive pour blanchir le linge.
Les produits pour le trempage du linge
Vous êtes face à un vêtement blanc qui a trop jauni pour pouvoir être sauvé par un simple lavage en machine ? Munissez-vous des armes fatales pour lui faire retrouver sa blancheur : une bassine, de l’eau chaude et de l’eau oxygénée ! Choisissez une eau oxygénée diluée à 20 ou 30 volumes, pour une réelle action blanchissante.
Comment ça marche ? Remplissez la bassine d’eau chaude (quelques litres) et ajoutez une tasse d’eau oxygénée, puis faites tremper votre vêtement. Lavez ensuite en machine comme à l’accoutumée.
Attention à ne pas renverser une goutte d’eau oxygénée sur des vêtements de couleur ! Ce produit aura la même action que la javel et créera une tache blanchâtre dont vous ne pourrez pas vous débarrasser. D’ailleurs, vous pouvez aussi utiliser de l’eau de javel pour blanchir du linge, mais ce n’est pas un produit particulièrement écologique et il pourrait abîmer un vêtement ou une parure de lit fragile.
Les solutions pour détacher du linge blanc
Pour enlever les taches difficiles tout en préservant l’éclat des vêtements clairs, certains détachants naturels font des merveilles. Il y a bien sûr le traditionnel savon de Marseille ou le savon noir, avec lequel on frotte la tache, puis on laisse agir un peu, avant de passer le linge en machine.
Pour un tissu fragile, on peut aussi compter sur le citron, notamment pour enlever les traces jaunes très courantes sur le linge blanc. Même procédé qu’avec le savon : on applique du jus de citron sur la tache, on laisse agir une quinzaine de minutes, puis place au lavage habituel.
Que vous souhaitiez conserver le plus longtemps possible la blancheur d’un vêtement, raviver l’éclat d’un habit terni ou détacher du linge blanc, il y a donc toujours un produit naturel qui vous sera d’un grand service. Reste à choisir la solution adaptée en fonction de la tache et du type de tissu !
Comment nettoyer une tache de vin ?
Vous dégustez un bon verre de vin (modérément), vous profitez d’un délicieux repas en famille ou entre amis, tout se déroule à merveille, et puis désastre… un geste maladroit vous fait renverser votre verre sur la nappe, ou pire, sur vos vêtements. Il faut alors agir vite. Vite, mais bien. Car la précipitation ou de fausses astuces pourraient ne faire qu’empirer la situation et incruster la tache durablement dans le textile. On a donc quelques conseils à vous prodiguer pour éviter cela et pour nettoyer une tache de vin de façon optimale.
Ce qu’il ne faut pas faire quand on tache un tissu de vin
Qu’un vêtement ait été taché de vin blanc, rouge ou rosé, la première chose à éviter, c’est de le mettre directement en machine. Il faut dans un premier temps détacher, car dans le cas contraire, la tache va se fixer au tissu lors du lavage. Et là, il faudra lui dire adieu ou espérer que la tache finisse par partir après moult passages en machine.
Autre erreur commune, mais néanmoins répandue parmi les soi-disant astuces de grand-mère : le saupoudrage de gros sel sur la tache de vin. Non, le sel ne va pas absorber les pigments du vin, mais va au contraire avoir tendance à les fixer. Le résultat sera donc parfaitement contraire à ce que vous espérez.
Ne cherchez pas non plus à frotter le tissu pour voir la tache disparaître. Cela aura simplement pour conséquence d’étaler le vin sur le vêtement et de le faire sécher plus rapidement, le rendant plus difficile à nettoyer.
Les solutions pour enlever une tache de vin fraîche
Pour maximiser vos chances de retrouver un tissu propre, l’idéal est d’intervenir dès que le vin l’a taché. Voici quelques astuces qui pourraient vous sauver la mise !
L’absorption du liquide avec des produits naturels
Si le sel n’est pas la solution idéale pour absorber du textile imbibé de vin rouge, il y a en revanche des produits qui se montrent plus efficaces et plus délicats pour le linge. Si vous avez l’habitude de réaliser vos recettes pour l’entretien du linge et votre nettoyant pour la maison, l’un d’entre eux se trouve sûrement dans vos placards. On parle en effet du bicarbonate de soude, qui a des propriétés absorbantes et détachantes. Utilisez-le de la façon suivante : saupoudrez une cuillère à soupe sur la tache de vin (ou plus selon l’étendue des dégâts), puis tapotez doucement avec un chiffon doux. Laissez agir quelques dizaines de minutes, voire quelques heures, puis enlevez délicatement le bicarbonate de soude une fois qu’il a bien séché.
D’autres produits du quotidien pourront avoir le même effet absorbant, comme la farine et le talc. L’usage d’une pierre d’argile ou de terre de Sommières, deux ingrédients naturels, peut également être préconisé pour éliminer les taches laissées par des vins de tous types.
Et si vous n’avez aucun de ces produits en poudre à la maison, le lait peut venir à la rescousse. Faites-le bouillir (🎵 pour voir si les couleurs d’origine, peuvent revenir… 🎵), puis tamponnez le lait avec un chiffon ou un papier absorbant sur la tache, et laissez ensuite agir environ une heure.
Le détachage avec du savon de Marseille
Une autre solution d’urgence contre les taches de vin rouge, c’est le bon vieux savon de Marseille. Prenez simplement votre savon, appliquez-le sur la tache, puis frottez à sec le textile ou en l’ayant au préalable humidifié à l’eau froide. On insiste sur l’eau FROIDE : bien qu’on ait l’habitude de laver son linge à haute température lorsqu’on veut le détacher, c’est une mauvaise idée quand il s’agit de vin, tout comme pour les taches de sang d’ailleurs. L’utilisation d’une eau froide va permettre d’empêcher la fixation de la tache dans le tissu.
Le savon noir et l’alcool ménager pour une tache sur du bois
Si un verre de vin se retrouve souvent sur le tapis ou sur les vêtements, il peut aussi finir sa course sur votre table en bois favorite ou sur le plancher. Deux produits peuvent alors être utilisés pour enlever la tache. Mouillez un chiffon ou une éponge avec un mélange d’eau froide et de savon noir, et frottez délicatement. Si cela ne suffit pas à faire partir la tache, ajoutez quelques gouttes d’alcool ménager à la solution liquide.
Une fois que le produit a éliminé les traces, rincez le bois à l’eau claire.
Le mélange bicarbonate et solution acide retirer une tache de vin sèche
Vous n’avez pas tout de suite remarqué la tache ? Vous n’aviez pas ce qu’il fallait au moment du désastre pour empêcher la tache de se fixer ? Pas de panique : certaines astuces fonctionnent aussi sur les taches de vin sèches.
Encore et toujours lui : le bicarbonate de soude est votre meilleur allié contre les taches de vin. Dans le cas où vous intervenez un peu tard, il faudra le mélanger à un produit acide pour mouiller la tache afin de l’absorber, sans qu’elle vienne se fixer sur le textile.
La méthode consiste dans un premier temps à imbiber la tache avec un produit relativement acide, qui peut être du vin blanc, du vinaigre blanc, de l’eau gazeuse, du jus de citron, de l’ammoniaque, etc. Ici, on veille à choisir un ingrédient qui ne risque pas d’endommager la surface tachée. On se renseigne donc au préalable sur les produits compatibles avec la matière à nettoyer (vêtement en coton, canapé en cuir, pull en laine, etc.) et si possible, on effectue un test au préalable sur une partie non visible de l’objet ou du vêtement.
Une fois que la tache est imbibée, vous pouvez ensuite la recouvrir de bicarbonate de soude et laissez agir durant plusieurs heures. Tamponnez ensuite la tache pour enlever le bicarbonate.
L’étape finale : le lavage en machine
Qu’importe la méthode que vous avez choisie pour éliminer une tache de vin blanc, rouge ou rosé, le nettoyage ne s’arrête pas là. Après avoir laissé un produit agir et/ou frotté délicatement, rincez le vêtement à l’eau claire ou passez une éponge humidifiée sur la surface tachée.
Ensuite, pour le linge, direction le machine à laver. Optez pour un cycle à basse température (30°C) et versez un peu de détachant dans le tambour (PS : SPRiNG propose un super détachant en poudre efficace sur toutes les taches, même le vin 😉).
À la sortie du lave-linge, vous devriez retrouver vos vêtements ou votre nappe parfaitement propre(s), comme si rien ne s’était passé !
Comment bien nettoyer son filtre de lave-vaisselle ?
Vous faites partie de ces Français(e)s qui n’ont jamais jeté un œil au filtre de leur lave-vaisselle ? Il ne faut donc pas vous étonner si votre appareil lave moins bien depuis un certain temps, si vos évacuations semblent se boucher et/ou si de mauvaises odeurs se dégagent du lave-vaisselle. Eh oui, le filtre du lave-vaisselle, par sa fonction, accumule un tas de saletés qu’il faut enlever manuellement si l’on veut préserver de bonnes performances et un lave-vaisselle sain.
Vous vous dites qu’il est donc temps de passer au nettoyage du filtre ? On vous donne nos conseils et astuces pour un entretien facile et efficace.
Quelle est l’utilité du système de filtration dans un lave-vaisselle ?
Revenons aux fondamentaux pour que vous compreniez bien tout l’intérêt d’effectuer un nettoyage régulier de votre appareil électroménager et de ses composants. Le rôle principal du filtre de lave-vaisselle est de récupérer les saletés (résidus alimentaires ou dépôts de calcaire par exemple) qui risqueraient de boucher la pompe de vidange et par la même occasion de disperser une eau sale dans le lave-vaisselle. S’il est engorgé, le filtre ne peut plus assurer correctement sa fonction et il pourra en résulter :
- des résidus alimentaires et des traces à l’intérieur de la cuve ;
- une vaisselle qui ne ressort pas propre après un cycle de lavage ;
- une mauvaise odeur à l’ouverture de la porte du lave-vaisselle.
Et quand cela devient trop critique, vous risquez même de boucher les évacuations et d’endommager l’appareil. Vous pourriez alors vous en sortir avec une réparation, mais qui aurait pu être évitée avec un bon coup de ménage régulier !
Où se trouve le filtre d’un lave-vaisselle ?
Si vous n’avez encore jamais nettoyé votre lave-vaisselle en profondeur, vous ne savez peut-être même pas où se trouve le filtre. Et d’abord, à quoi ressemble-t-il ? Vous voyez les passoires à tasse pour le thé et la tisane ? Le filtre du lave-vaisselle a une conception un peu similaire. Mais lorsqu’il est dans le lave-vaisselle, vous n’apercevez que sa partie haute.
Pour le trouver, rien de sorcier néanmoins : dans la majorité des appareils, il se trouve au fond de la cuve. Il vous suffit d’ouvrir le panier du bas du lave-vaisselle pour l’apercevoir. Retirez-le en le tournant puis en le soulevant. Au besoin, faites tourner le bras de lavage pour qu’il ne vous gêne pas.
Vous avez un doute ? L’astuce infaillible, c’est de consulter la page dédiée dans le manuel d’utilisation de votre appareil électroménager. Et n’hésitez pas à le (re)lire pour savoir comment bien entretenir votre lave-vaisselle dans son intégralité.
Quelles étapes pour nettoyer efficacement le filtre de son lave-vaisselle ?
La première étape est bien sûr de sortir le filtre de la machine. Pour enlever les plus gros résidus, tapotez doucement le filtre au-dessus de la poubelle (ou enfilez des gants pour retirer les morceaux à la main). On insiste sur le fait de mettre les saletés les plus imposantes à la poubelle, et non pas dans l’évier. Sinon, vous risquez de boucher l’évacuation, ce qui serait complètement contraire à l’objectif initial.
Ensuite, passez le filtre sous l’eau chaude pour éliminer le reste des impuretés. Pour un bon nettoyage du filtre, nul besoin d’un produit d’entretien spécifique. Vous pouvez le frotter à l’aide d’une éponge, d’une brosse à vaisselle, d’une vieille brosse à dents ou d’un chiffon. Veillez toutefois à ne pas utiliser un accessoire trop abrasif, au risque d’endommager le tamis du filtre. Pour bien dégraisser et laver, ajoutez un peu de liquide vaisselle (si voulez apprendre à faire votre liquide vaisselle maison, c’est par ici, et si vous cherchez une solution zéro déchet, il y a le produit en poudre et sa bouteille réutilisable conçus par SPRiNG).
Si le composant est plein de calcaire ou si le liquide vaisselle ne suffit pas à bien le nettoyer, passez à l’étape du trempage. Dans un récipient, versez un mélange moitié-moitié d’eau chaude et de vinaigre blanc, puis placez-y le filtre pendant une quinzaine de minutes. Vous pouvez aussi réaliser un mélange à base d’eau chaude et de bicarbonate de soude pour dégraisser et détartrer le filtre.
Après trempage, rincez abondamment à l’eau claire. Une fois que vous voyez parfaitement clair à travers le tamis et qu’il n’y a plus aucun résidu, votre filtre de lave-vaisselle peut être remis en place.
Mais avant cela, vérifiez également qu’aucun résidu ne se trouve dans le trou où est logé le filtre. S’il y a des saletés, un petit coup d’éponge suffira à les enlever.
À quelle fréquence réaliser ce nettoyage de lave-vaisselle ?
Faut-il laver le filtre toutes les semaines, tous les mois, deux fois par an ? La fréquence dépend de plusieurs facteurs. Par exemple, si vous rincez systématiquement votre vaisselle avant de la mettre en machine (ce qui n’est pas forcément l’idée la plus écologique qui soit par ailleurs), alors le filtre aura moins tendance à s’encrasser. De même si vous nettoyez assez souvent la cuve de l’appareil. Cela dépend également de la fréquence à laquelle vous utilisez votre lave-vaisselle. À notre humble avis, il serait bon de jeter un coup d’œil à votre filtre une fois par mois et de juger par vous-même s’il semble bon à nettoyer. Si vous oubliez, gardez à l’esprit que les mauvaises odeurs ou un cycle de lavage peu performant peuvent être des causes d’un filtre qu’il faut nettoyer.
Lorsque vous nettoyez le filtre, profitez-en pour laver l’ensemble de votre appareil électroménager : bras de lavage, joint de porte et intérieur de cuve. Une éponge et du vinaigre blanc font là aussi l’affaire pour retrouver un lave-vaisselle propre et performant, quels que soient le cycle et la température. Vous pouvez également utiliser de l’acide citrique, des cristaux de soude ou du bicarbonate de soude pour entretenir les différents éléments de votre lave-vaisselle, puisqu’ils permettent à la fois de nettoyer et de détartrer.
Le grand ménage de printemps, les règles d'or
Dépoussiérer, nettoyer de fond en comble, désinfecter, trier, ranger : voilà des mots que beaucoup d’entre nous n’aiment pas entendre, au vu de la corvée que cela annonce. Pourtant, rien de tel qu’un bon nettoyage de printemps pour une maison saine et pour repartir sur de bonnes bases.
On ne va pas vous promettre que ce sera une partie de plaisir, mais on peut vous assurer qu’une fois que ce sera fait, vous vous sentirez plus léger. Alors c’est parti pour les astuces et conseils pour un ménage de printemps efficace !
Pourquoi parle-t-on de “ménage de printemps” ?
Avant d’entrer dans le vif du sujet, c’est l’heure de la petite anecdote du jour : savez-vous d’où vient cette expression du “ménage de printemps” ? C’est en fait une pratique qui remonte à des siècles en arrière, mais qui n’avait à l’origine aucun lien avec le fait de nettoyer et de ranger sa maison. L’expression nous vient de l’époque où les agriculteurs vidaient leurs greniers pour pouvoir y entreposer les récoltes à venir, et qui avaient donc généralement lieu au printemps.
Entretien de la maison et grand ménage de printemps : quelles différences ?
Faire un grand nettoyage de printemps, ce n’est pas simplement dépoussiérer les meubles, laver les sols, repasser le linge et ranger sa chambre. Il s’agit plutôt de nettoyer son intérieur en long en large et en travers, de faire du tri et de s’atteler à des tâches que l’on ne prend pas le temps de faire au quotidien ni de façon hebdomadaire ou mensuelle. Chaque pièce est passée au crible et c’est en général un travail de toute une journée (voire tout un week-end) pour retrouver une maison ou un appartement vraiment propre et rangé. Appareils électroménagers, douche ou baignoire, murs, dessous de meubles : tout y passe.
Pour les chanceux qui ont des extérieurs et qui ont également une bonne dose de motivation, le ménage de printemps peut aussi être l’occasion de s’occuper de sa pelouse, de tailler les arbres, de ranger l’abri de jardin, etc. Mais pour le moment, on va se contenter de vous aider à faire le ménage de printemps dans votre intérieur !
Quels sont les principaux conseils à suivre pour un bon nettoyage de printemps ?
Vous êtes prêt et déterminé ? Avant de vous lancer à corps perdu et de frotter la cuisine, passer l’éponge dans tous les recoins, laver les sols à grande eau et vider les placards, on a quelques astuces à vous donner. Elles vous permettront d’être plus efficace et de réaliser un nettoyage de printemps dans les règles de l’art.
Établir une “stratégie” de nettoyage
Quand on veut nettoyer tout un logement en profondeur, le risque est de s’éparpiller et de ne plus savoir où donner de la tête, pour finalement perdre toute la motivation initiale.
C’est pourquoi vous devez déterminer une manière de procéder. Il y a deux principales façons d’envisager votre ménage de printemps (et qui valent aussi pour l’entretien quotidien) :
- Procéder pièce par pièce : cela vous permet de voir l’avancée de votre travail et de savoir qu’une fois que vous sortez d’une pièce, vous n’aurez pas besoin d’y repasser.
- Opérer par type de tâche : on commence par exemple par dépoussiérer toute la maison, pour ensuite ranger et nettoyer les placards, laver les vitres, nettoyer les sols, etc. Cette méthode d’organisation permet de se concentrer sur une seule et même tâche, optimisant dans le même temps l’utilisation des produits d’entretien et des ustensiles de ménage.
Et n’oubliez pas que si vous ne vivez pas seul, vous pouvez tout à fait mettre à contribution les autres membres du foyer. Chacun sa pièce ou chacun sa tâche : cela vous fera gagner un temps considérable !
Faire une liste des tâches
Il y a certaines choses incontournables à faire lorsqu’on se lance dans le ménage de printemps. On y compte par exemple le nettoyage du lave-vaisselle, le dégraissage de la cuisine, le détartrage de la paroi de douche, le dépoussiérage dans tous les coins, le lavage des fenêtres et des vitres, l’aspiration du matelas, etc. La liste peut être longue, mais tout dépend aussi de la superficie de votre maison ou appartement et de la façon dont votre intérieur est aménagé.
Il est donc utile de faire une liste détaillée avant de commencer. Vous êtes la personne la plus à même de savoir si votre canapé en cuir ou en tissu a besoin d’être nettoyé, si les placards de cuisine méritent un bon rangement, si les meubles de la salle à manger ont besoin d’être dépoussiérés, s’il est temps de désinfecter les toilettes, etc.
Bien s’équiper : accessoires de ménage et produits d’entretien
Qu’importe les tâches qui se trouvent dans votre liste, lors du ménage de printemps, vous aurez toujours besoin des appareils et accessoires suivants :
- un aspirateur, pour déloger la poussière où qu’elle se trouve ;
- une éponge ;
- un chiffon microfibres pour attraper les poussières et nettoyer les surfaces délicates ;
- une vieille brosse à dents pour les endroits plus difficiles d’accès ;
- un seau, une serpillère et un balai-brosse pour les sols ;
- des gants pour les endroits vraiment pas propres et pour manipuler des produits d’entretien potentiellement dangereux.
Ensuite, place aux produits ménagers. Si vous voulez utiliser uniquement des solutions naturelles, il y a plusieurs ingrédients qu’il faut absolument avoir :
- le vinaigre blanc, pur ou mélange à de l’eau, car c’est un nettoyant aux propriétés détartrantes et désinfectantes ;
- le bicarbonate de soude, qui nettoie et désodorise ;
- les cristaux de soude, une solution efficace et pratique pour dégraisser ;
- le savon noir pour laver le sol ;
- l’alcool à brûler pour les vitres, etc.
Bien entendu, vous pouvez aussi choisir des produits d’entretien conventionnels et dédiés à des usages spécifiques. Mais attention aux substances controversées qu’ils peuvent contenir. Si vous nettoyez votre intérieur, ce n’est sûrement pas pour ensuite vous retrouver dans des pièces qui dégagent des produits toxiques.
Ne pas oublier de faire le tri
Vous aspirez la poussière et les saletés, vous nettoyez, vous lavez…, mais avez-vous pensé au rangement et au tri ? C’est en effet une étape indispensable du grand nettoyage de printemps. Il est même plus pratique de le faire avant tout le reste, pour ne pas vous encombrer d’un tas de choses inutiles et pour faciliter le nettoyage des placards, armoires, dressing, tiroirs, etc.
Mais que faut-il trier exactement ? Tout à vrai dire ! Il y a d’abord les vêtements dans vos armoires : jetez ou donnez ceux qui ne vous vont plus, que vous n’aimez plus et les vêtements usés que vous chérissez mais que vous n’avez pas portés depuis des lustres. Profitez-en pour bien replier tout votre linge (vêtements, sous-vêtements, draps, etc.), pour une garde-robe bien rangée.
Les meubles de rangement de la cuisine ensuite : jetez les produits périmés depuis longtemps et revoyez l’organisation dans les placards et les tiroirs.
Le fameux tiroir de la commode du salon ou de la salle à manger qui contient tout et n’importe quoi ne doit pas non plus être oublié. Peut-être contient-il de vieilles piles, des flyers que vous n’avez jamais lus, des stylos qui n’écrivent plus, etc.
On ne va pas lister tous les meubles de votre maison, mais pensez aussi au coffre à jouets des enfants, au meuble vasque de la salle de bain, à la bibliothèque, etc.
Recettes de liquide vaisselle maison
Même avec un lave-vaisselle super efficace, il n’est pas rare de devoir faire la vaisselle à la main. C’est vrai pour certains ustensiles dont le lavage n’est pas recommandé au lave-vaisselle (accessoires en bois, tétines de biberon, verres en cristal, etc.) ou lorsque l’on invite toute la famille à déjeuner et que l’appareil n’arrive pas à suivre la cadence. Et puis le liquide vaisselle est aussi un produit nettoyant que l’on peut utiliser pour dégraisser le plan de travail ou passer un coup sur la table par exemple. Sans compter qu’il fait office de savon pour les mains dans la cuisine.
Bref, vous l’aurez compris, on se passe difficilement de liquide vaisselle dans la cuisine. Et si vous appreniez à le fabriquer vous-même ? Il y a plein de bonnes raisons de se lancer dans une recette maison : voici nos conseils et astuces pour une préparation étape par étape !
Pourquoi faire son liquide vaisselle maison ?
Quels que soient les produits d’entretien dont on parle, on sait que certaines formules contiennent des substances chimiques et/ou potentiellement néfastes pour la santé, la peau et l’environnement. Malheureusement, c’est aussi le cas avec des liquides vaisselle que l’on retrouve dans le commerce, contenant parfois des ingrédients comme des agents dérivés de la pétrochimie, des conservateurs, des allergènes, etc.
Un produit contenant de tels ingrédients, en plus de ne pas être écologique ni sain, présente aussi souvent des risques d’allergie pour les utilisateurs. Ces allergènes sont problématiques dans tous les produits ménagers (lessive, nettoyant multi-surfaces, etc.), mais le sont d’autant plus dans le liquide vaisselle. Pourquoi ? Car c’est un produit qui entre en contact direct avec la peau. Sauf si vous mettez toujours les traditionnels et splendides jolis gants de ménage roses pour faire la vaisselle et que vous vous lavez les mains avec du savon plutôt qu’avec le liquide vaisselle. Autant dire que cela ne concerne pas la majorité des Français, du moins on le suppose.
En quoi un atelier DIY pour faire son liquide vaisselle serait-il une solution à ces problèmes d’ingrédients ? Tout simplement parce qu’en préparant vous-même la recette, vous pouvez utiliser des produits naturels et maîtriser la composition en évitant les allergènes, conservateurs, etc.
N’oubliez pas non plus que les recettes maison sont une bonne manière de se mettre au zéro déchet. Fini l’achat de flacons de liquide vaisselle en plastique : vous pouvez réutiliser un flacon existant ou opter pour une bouteille en verre pour stocker le liquide vaisselle que vous fabriquez (même constat si vous faites votre propre lessive au savon de Marseille par exemple).
Quels ingrédients pour un liquide vaisselle efficace ?
Si vous avez déjà fabriqué des produits d’entretien vous-même, vous avez sans doute déjà une idée de la liste d’ingrédients requis pour une recette de liquide vaisselle naturel. C’est en effet toujours à peu près les mêmes matières premières que l’on retrouve dans les recettes de produits ménagers :
- du savon comme le savon de Marseille ou le savon noir par exemple, en copeaux, en paillettes ou liquide ;
- du bicarbonate de soude, ou des cristaux de soude pour un plus fort pouvoir dégraissant ;
- de l’eau, qu’il faudra faire chauffer ;
- du vinaigre blanc, l’allié incontournable du ménage ;
- en option : quelques gouttes d’huiles essentielles, un tensioactif naturel (pour que ça mousse).
Côté ustensiles, la liste est également assez succincte, puisqu’il vous faudra une casserole, une cuillère à soupe, une grande cuillère en bois pour mélanger, une balance, un entonnoir et une bouteille vide. A priori, si vous faites la cuisine de temps en temps, ce sont des ustensiles que vous avez à la maison.
Quelles sont les étapes de préparation du liquide vaisselle DIY ?
Il existe plusieurs variantes de recettes de liquide vaisselle maison, en fonction des ingrédients utilisés et de leur conditionnement (savon en copeaux ou en cube par exemple). Néanmoins, la recette se déroule toujours plus ou moins comme suit, pour 500 ml de liquide vaisselle :
- Faites frémir 40 cl d’eau dans une casserole.
- Après avoir baissé le feu, ajoutez 100 grammes de savon. Vous pouvez utiliser du savon de Marseille, du savon noir, ou les 2. Si vous avez le savon en copeaux, il peut être intégré tel quel. Si c’est un pain de savon, il vous faudra un petit élan de motivation pour le râper.
- Mélangez bien, de sorte que la préparation devienne homogène.
- Retirez la préparation du feu et ajoutez le bicarbonate ou les cristaux de soude, à raison de 2 cuillères à soupe. Mélangez bien.
- Ajoutez une cuillère à soupe de vinaigre blanc.
- Au besoin, passez votre liquide vaisselle maison au mixeur pour obtenir une consistance lisse.
- Versez dans la bouteille ou le flacon pompe à l’aide de l’entonnoir.
Si vous souhaitez ajouter des huiles essentielles, pour leur pouvoir dégraissant, antibactérien, etc. ou pour leur parfum, voici nos astuces :
- ajoutez-les à la recette une fois que le liquide a refroidi ;
- assurez-vous que ni vous ni quiconque dans votre foyer n’est allergique aux huiles essentielles en question ;
- versez une dizaine de gouttes d’huiles essentielles, pas plus ;
- utilisez de préférence de l’huile de citron, de l’huile de tea tree ou encore de l’huile d’eucalyptus.
Une fois mis en bouteille, votre liquide vaisselle maison est prêt. Utilisez-le comme un produit classique : en l’appliquant directement sur l’éponge (retrouvez les étapes de fabrication de votre éponge zéro déchet ici), en ajoutant quelques gouttes avec de l’eau chaude dans un plat à dégraisser, en versant une dose de liquide dans une bassine, etc.
Et si vous optiez pour le liquide vaisselle SPRiNG ?
Le DIY, ce n’est pas votre truc ? Vous n’avez pas le temps, pas l’envie ? Pour autant, le zéro déchet et les compositions sans matières controversées, ça vous importe ? SPRiNG a pensé à vous avec son liquide vaisselle pas liquide. Qu’est-ce que c’est que cette invention encore ? Rien de sorcier à vrai dire : un pack avec une bouteille rechargeable et une pompe pour prélever la juste dose + des sachets de poudre à dissoudre dans l’eau du robinet. C’est sans substances controversées, conditionné dans des sachets en papier recyclables, efficace et facile. Faire votre liquide vaisselle ne vous aura jamais pris aussi peu de temps ! Étape 1 : ouvrez le sachet et versez la dose dans le flacon. Étape 2 : remplissez le flacon d’eau. Étape 3 : secouez. C’est tout.
Ce qu'il faut savoir sur les produits d'entretien
Lessive, pastilles de lave-vaisselle, produit nettoyant pour le sol, adoucissant du linge, etc. : voici des produits dont on a l’usage tous les jours ou presque, et sur lesquels on ne sait finalement pas grand-chose. Sauriez-vous par exemple dire ce qu’ils contiennent ? Comment bien les choisir ? Comment bien les utiliser ? Si la réponse n’est pas catégoriquement “oui”, alors les lignes qui suivent devraient vous en apprendre un peu plus sur les produits d’entretien que l’on retrouve en droguerie, en grandes surfaces ou encore en vente sur internet.
Que contiennent les produits d’entretien conventionnels ?
Voilà une question épineuse, dont la réponse pourrait vous surprendre. D’abord, dans presque n’importe quel produit d’entretien (ou d’hygiène) liquide vendu dans le commerce, l’un des principaux ingrédients, c’est l’eau. Normal nous direz-vous, puisqu’il s’agit d’une formule liquide. Reste que cet ingrédient que vous achetez dans vos bidons de lessive ou sprays nettoyants, vous l’avez pour un prix bien moindre à la maison.
Ensuite ? Pour être efficaces, les produits d’entretien du linge, des surfaces ou de la vaisselle ont besoin de détergents. Ce sont des substances qui permettent de capter, puis d’éliminer les saletés. En somme, c’est ce qui permet le nettoyage et le dégraissage.
Selon l’utilisation, on peut également retrouver des produits désinfectants, des agents blanchissants, des ingrédients anti-calcaire, etc. Sans oublier les substances ajoutées pour favoriser l’homogénéisation de la formule. Dans certains cas, un produit d’entretien peut aussi contenir des parfums, ainsi que des conservateurs pour les formules liquides.
Il ne s’agit pas ici d’une liste exhaustive, mais comme vous le voyez, une lessive, un nettoyant multi-surfaces ou un liquide vaisselle peut contenir une looooongue liste d’ingrédients. Ce n’est pas un réel problème en soi. Ce qui est plus dérangeant en revanche, c’est que vous, consommateur, vous ne savez pas exactement ce qui compose les produits que vous achetez. Loin de nous l’idée de vous blâmer, puisque la composition de ces produits est difficilement compréhensible par un néophyte.
L’autre problématique, c’est que dans les produits conventionnels, les agents que l’on retrouve peuvent être : nocifs pour la santé, allergènes, dommageables pour l’environnement, perturbateurs pour le système endocrinien, etc.
Et ce n’est pas parce qu’un produit ménager est “professionnel”, qu’il sera plus sain ou plus écologique qu’un nettoyant, une lessive ou un liquide vaisselle d’une gamme “classique”.
Et si on parlait aussi de l’essuie-tout, des éponges ou encore des lingettes ? Là aussi, certains composants et processus de fabrication laissent à désirer (ex. : blanchiment du papier essuie-tout ou du papier toilette, composés chimiques dans les lingettes démaquillantes, etc.).
Cela peut représenter une source d’inquiétude réelle. Mais comment faire pour éviter l’usage de ces substances néfastes quand on fait son ménage quotidien à la maison, quand on lance une machine ou quand on fait la vaisselle ? Encore 1 minute de lecture, et vous le saurez !
Des produits nettoyants naturels et écologiques, est-ce que ça existe ?
Puisque du soin du linge au nettoyant spécial vitres en passant par les produits de désinfection des surfaces, il y a des risques d’entrer en contact avec des produits chimiques et nocifs, le réflexe serait de privilégier des solutions plus naturelles et plus écologiques.
Effectivement, cela peut être une bonne idée. On vous conseille alors de vous tourner vers des détergents qui sont reconnus par des labels fiables. Parmi eux, on compte notamment le label Ecocert ou l’écolabel européen. Ils ne vous assureront pas que les formules de vos produits ménagers sont 100 % naturelles. Mais au moins, vous savez que les produits ne contiennent pas de substances controversées et que le processus de fabrication est plus respectueux de la nature. Et ça, c’est déjà un très bon point. Les certificateurs Ecolabel et Ecocert réalisent par ailleurs des tests d’efficacité avant d’apposer le label sur un détergent multi-surface, un adoucissant, ou quelconque autre produit d’entretien.
Sinon, vous pouvez également faire confiance aux produits ménagers fabriqués par SPRiNG. Pourquoi ? Parce que nous bannissons strictement des ingrédients reconnus comme controversés, ainsi que les allergènes. Si vous avez un doute, sachez que vous pouvez consulter la liste des ingrédients de chaque produit, avec des explications détaillées pour chacun d’entre eux. Pas de cachoterie et une utilisation sans risque pour la santé !
En plus, si vous cherchez des solutions zéro déchet (ou “moins de déchets”), notre gamme de lessives, sprays nettoyants, pastilles et autres, va vous ravir. On vous livre les produits dans des boîtes sans plastique, avec des formules concentrées et contenant le minimum d’eau requis. Bonus : nos recettes sont imaginées en France et fabriquées sur le territoire européen.
Sachez d’ailleurs que l’on adopte la même démarche avec les produits cosmétiques et d’hygiène, en proposant des produits solides zéro déchet. On dit ça, on dit rien ;)
Peut-on faire ses produits d’entretien maison ?
Vous voulez à tout prix maîtriser entièrement la composition de chaque produit ménager pour votre linge, votre cuisine, votre salle de bain, vos sols ? Que ce soit pour une raison écologique, économique, sanitaire, ou tout cela à la fois, on peut vous comprendre. La bonne nouvelle est qu’il existe en effet des moyens de fabriquer du détergent maison avec des ingrédients naturels. Certains sont très efficaces, mais on ne pourra pas vous garantir le même niveau d’efficacité qu’avec nos produits, savamment conçus et testés en laboratoire.
Voici quelques exemples de produits d’entretien naturels que vous pouvez utiliser tels quels pour faire le ménage, la vaisselle ou laver le linge :
- le vinaigre blanc, pour le détartrage de la robinetterie de la salle de bain, le nettoyage de la paroi de douche, la désinfection des toilettes ;
- l’acide citrique, pour détartrer la bouilloire et la cafetière ;
- le bicarbonate de soude, pour désodoriser le frigo ;
- le savon noir, pour le lavage des sols ;
- le savon de Marseille, pour détacher du linge avant lavage en machine ;
- les cristaux de soude, pour déboucher l’évier, dégraisser le plan de travail de la cuisine. ;
- l’alcool à brûler pour le nettoyage des vitres, etc.
Sans grande difficulté et avec des produits disponibles à prix abordables, vous pouvez donc tout à fait remplacer les produits ménagers conventionnels par ces solutions naturelles. On les retrouve à la vente en droguerie, dans les supermarchés, en ligne, dans les magasins zéro déchet, etc.
Si vous voulez vous lancer dans des recettes un peu plus élaborées, c’est aussi possible. On vous propose d’ailleurs plusieurs articles pour des ateliers DIY : fabriquer sa lessive maison au savon de Marseille, faire ses pastilles de lave-vaisselle avec du bicarbonate, des cristaux de soude et de l’acide citrique, préparer du liquide vaisselle pour le lavage à la main, etc.
Tout savoir sur les allergies à la lessive et comment les éviter
Si vous avez la peau sensible, vous savez déjà probablement qu’il faut faire attention aux produits d’hygiène et aux cosmétiques que vous utilisez. Mais aviez-vous déjà pensé que les démangeaisons et les rougeurs sur votre peau pouvaient aussi provenir de votre lessive ? Eh oui, si vous lavez vos vêtements avec une lessive qui contient des substances allergènes, ces dernières peuvent entrer en contact avec votre peau, et ce n’est jamais un plaisir… Cela est vrai pour les adultes qui ont une sensibilité particulière à certains ingrédients, mais aussi chez le bébé et le jeune enfant, dont la peau est plus fragile.
C’est pourquoi il est important de choisir une lessive adaptée. Oui, mais comment ? C’est ce que l’on va vous expliquer.
Comment savoir si vous faites une allergie à la lessive ?
Comme beaucoup d’autres allergies, celle à la lessive entraîne des réactions cutanées diverses et variées. Voici les principaux signes qui peuvent indiquer une allergie à votre lessive ou à votre adoucissant :
- des démangeaisons, qui apparaissent quel que soit le type de vêtements portés (et pas seulement parce que vous portez un pull en laine sur la peau nue par exemple) ;
- de petites rougeurs ou des plaques plus étendues sur les zones en contact avec les vêtements ;
- une sécheresse accrue de la peau
- des boutons et de l’eczéma, etc.
Ce sont des symptômes que vous pourrez constater également chez votre nourrisson, qui pourra aussi montrer des signes d’agitation, un sommeil plus perturbé que d’ordinaire, etc.
En cas de doute, n’hésitez pas à consulter un dermatologue ou un allergologue. Il pourra vous en dire plus sur les causes de l’allergie et vous donner des traitements et conseils pour calmer l’inconfort, le temps que vous trouviez une lessive plus adaptée à votre peau.
Les allergies à la lessive, d’où viennent-elles ?
Une allergie à la lessive se déclenche généralement de deux manières : soit lorsque votre peau entre en contact avec le produit au moment de remplir le bac à détergent par exemple, soit lorsque vous portez le linge qui a été lavé avec la lessive. Le risque est d’autant plus important si le rinçage est mal effectué, puisque les résidus de lessive ne sont alors pas bien éliminés (ex : quand vous mettez plus de linge dans la machine qu’elle ne peut en accepter ou si l’un des composants de la machine est encrassé ou endommagé).
Mais pourquoi donc est-il possible de faire des allergies aux produits d’entretien du linge, lessive comme assouplissant ? La réponse est assez simple sur le principe : parce que beaucoup de lessives conventionnelles en poudre en capsules ou liquides contiennent des substances allergènes. Ce ne sont pas des ingrédients qui vont fatalement créer des allergies chez tout le monde, mais ils sont potentiellement à l’origine d’une réaction allergique.
Ce qui pourra peut-être vous surprendre, c’est qu’il n’y a pas que des produits chimiques qui peuvent être allergisants. Une personne peut notamment être allergique à une certaine huile essentielle, qui est pourtant tout à fait naturelle. Reste que ce sont quand même majoritairement les substances chimiques et de synthèse qu’il faut éviter pour limiter le risque d’allergie. On compte parmi elles des parfums et des conservateurs, mais aussi des produits pour préserver le blanc du linge ou encore des colorants.
Et ici, on ne vous parle que des risques allergiques, mais il ne faut pas oublier que certains agents allergènes sont aussi potentiellement nocifs pour la santé de manière plus globale.
Comment éviter une réaction allergique à une lessive ?
La crise d’urticaire et l’apparition de plaques à chaque fois qu’on porte son pull préféré, c’est terminé ! Il existe en effet plusieurs solutions pour mettre fin aux réactions allergiques causées par les lessives.
Regarder la liste des ingrédients : pas toujours aussi simple
Si vous ou votre bébé semblez faire une réaction allergique à la lessive, on pourrait vous conseiller de consulter la composition des lessives pour choisir celle qui vous convient. Seulement, pour déchiffrer certaines listes d’ingrédients, il faut parfois s’accrocher. Entre une liste à rallonge et des noms incompréhensibles, ça peut être une vraie corvée. Et puis, encore faut-il savoir quel ingrédient allergène vous pose problème pour pouvoir l’exclure de vos achats de lessive. Bref, c’est une option, mais pas la meilleure.
Faire sa lessive maison : une idée à envisager
Puisque la plupart des agents allergisants sont des substances chimiques et des huiles essentielles, alors il est possible de les éviter en fabriquant une lessive maison liquide ou en poudre dont vous maîtrisez la composition. Vous réduisez en effet radicalement les risques d’allergie en préparant un produit pour le lavage du linge qui contient des ingrédients d’origine naturelle comme le savon de Marseille, le savon noir, le bicarbonate de soude, etc.
Il en va de même avec l’adoucissant, qui est lui aussi un produit à fort potentiel allergène. Remplacez-le par exemple par du vinaigre blanc pour assouplir votre linge.
Choisir une lessive hypoallergénique : la meilleure solution
Vous n’avez pas envie de réaliser des recettes maison de lessives ? Vous cherchez un produit qui vous assurera de ne risquer aucune allergie ? C’est pour cela qu’il existe la lessive hypoallergénique. En poudre ou liquide, elle est conçue pour minimiser le risque de réaction allergique (en gardant à l’esprit que le risque zéro n’existe pas).
Chez SPRiNG, toutes nos lessives sont douces pour la peau et ne contiennent pas de matières controversées, pas de conservateurs et pas d’allergènes. Pour les peaux sensibles, nous avons même développé une formule Douceur & Soin au parfum fleuri, ainsi qu’une formule sans parfum, toutes les deux ont été testées sous contrôle dermatologique et validées pour les peaux sensibles.
Après chaque lavage, vous profitez d’un linge propre, aux couleurs et au blanc préservés, sans les désagréments d’une réaction cutanée ou d’une peau qui gratte.
Ne contenant pas de substances controversées, nos capsules sont par ailleurs exemptes de perturbateurs endocriniens, d’allergènes étiquetables et de produits cancérogènes. C’est donc aussi moins de risques pour votre santé et celle de votre bébé ou de votre enfant.
Comment faire un tawashi en 10 minutes ?
Motivée par les ateliers DIY ? Envie de vous engager un peu plus dans le zéro déchet ? On a donc une super activité pour vous : la réalisation d’un tawashi. Le tawa…quoi ? Pas d’inquiétude, on va vous expliquer de quoi il s’agit et quelle est la méthode classique pour le fabriquer vous-même en quelques minutes, avec des accessoires et ustensiles dont vous disposez à la maison.
Le tawashi, késako ?
Pour faire simple, le tawashi est une éponge, fabriquée à partir de tissu de récupération. Tout comme le furoshiki (emballage en tissu), c’est un produit qui nous vient du Japon et que l’on pourrait traduire comme “brosse à laver”.
Du fait de sa composition, elle diffère des éponges que l’on a l’habitude d’utiliser et qui sont le plus souvent fabriquées à partir de plantes, de cellulose ou de matières synthétiques. D’ailleurs, si vous voulez devenir incollable sur les éponges, on y a consacré tout un article !
Mais revenons à notre sujet : le tawashi. Vous aurez compris que c’est un mélange d’éponge et de chiffon à laver. Comment pouvez-vous l’utiliser ? À vrai dire, comme n’importe quelle autre éponge classique. Le tawashi peut servir à faire la vaisselle, à nettoyer les vitres, pour l’entretien de la cuisine et de la salle de bain, pour laver l’intérieur de la voiture, etc.
Pourquoi vous lancer dans la fabrication d’un tawashi ?
Il y a d’abord un côté ludique à fabriquer une éponge tawashi, car il faut tisser de vieux vêtements pour la confectionner. Celles et ceux qui sont déjà adeptes de crochet ou de tricot vont s’en donner à cœur joie !
C’est également un accessoire écologique, pour plusieurs raisons :
- c’est une manière d’utiliser des chaussettes usées ou d’autres vieux vêtements, qui n’auraient pas tardé à rejoindre la poubelle ;
- le tawashi, puisque composé de tissu, est lavable en machine ou au lave-vaisselle et il est réutilisable, contrairement aux éponges jetables qui ont une durée de vie limitée et qui génèrent des déchets ;
- c’est une éponge qui remplace votre éponge classique, ce qui sera d’autant plus écologique si vous aviez l’habitude d’utiliser des éponges synthétiques.
Pour les mêmes raisons, la fabrication et l’utilisation d’un tawashi se révèlent aussi économiques. Un peu comme toutes les astuces DIY d’ailleurs !
Quels accessoires faut-il pour réaliser votre éponge tawashi ?
Avant de faire votre premier tawashi à l’aide d’un tuto, il va falloir vous équiper de quelques éléments.
Il y a d’abord les matières premières, c’est-à-dire le tissu de récupération. Il peut aussi bien s’agir de chaussettes que de t-shirts, de collants épais, etc., avec idéalement une matière qui n’est pas trop rêche et qui dispose d’une certaine élasticité.
Ensuite, pour confectionner votre éponge zéro déchet, vous devrez confectionner un métier à tisser. Pas d’inquiétude, il n’y a rien de sorcier là-dedans, et vous n’aurez besoin que d’une planche de bois ou d’un carton épais, de ciseaux, de clous, d’un marteau et d’un instrument de mesure (de type mètre de bricolage, mètre ruban, ou même une règle). En somme, que des objets dont vous disposez à la maison ou que vous pouvez vous procurer à petit prix.
Ça y est, vous êtes équipé ? Alors, on passe à l’étape du tutoriel !
Quelles sont les principales étapes de la réalisation ?
La première étape est de fabriquer votre petit métier à tisser, qui sera réutilisable si vous voulez fabriquer d’autres éponges tawashis de la même taille. Voici la méthode la plus couramment utilisée, qui a l’avantage d’être simple et rapide :
- découpez un carré dans le bois ou le carton ;
- tracez un trait au crayon sur chaque côté du carré, à environ 1 cm du bord, en espaçant les traits d'environ 2 cm ;
- plantez des clous sur chacun des traits dessinés, en évitant les 4 coins du carré.
Voilà, le métier à tisser et prêt. On vous l’avait dit, c’est facile.
Place maintenant à l’étape de la découpe du tissu. Il faudra veiller à choisir des vêtements suffisamment longs pour être accrochés entre deux clous de chaque côté du carré. Ce n’est pas clair ? Autrement dit, si vous avez tracé un carré de longueur 20 cm, vos bandes de tissu devront être un peu plus petites (de 10 à 15 cm), avec une longueur plus ou moins grande en fonction de leur élasticité. Quant à la largeur, comptez entre 2 et 3 cm.
Après avoir pris les mesures sur les manches de vos vieux vêtements, votre legging usé ou vos chaussettes, découpez des bandelettes à l’aide de ciseaux. Attention, il ne faut pas découper de simples bouts de tissu, mais bien des bandes qui forment un trou (comme un bandeau en somme). C’est pourquoi on préconise par exemple des manches de T-shirts, une chaussette ou des collants.
Si ce n’est pas parfaitement droit en revanche, aucune importance. L’astuce pour un tawashi réussi, c’est de bien tisser et de serrer ni trop, ni trop peu.
Justement, le tissage, comment ça se passe ? Vous allez dans un premier temps placer une rangée de bandelettes de tissu à la verticale ou à l’horizontale, en les faisant passer dans un clou puis dans le clou opposé. Jusque-là, c’est un jeu d’enfant. C’est ensuite que vous allez commencer à vraiment tisser, en plaçant les bandelettes dans le sens opposé. Il faut alors passer la première bandelette dessus, dessous, dessus, dessous, etc. la bandelette déjà en place. Autrement dit, vous croisez les tissus qui sont à la verticale avec ceux qui sont à l’horizontale. Pensez à alterner : si pour la première bande, vous avez commencé en passant au-dessus, faites le contraire avec la deuxième bande en passant en dessous, puis au-dessus, etc.
Et quand chaque boucle est du tawashi est prête, il faut réaliser son contour. Prenez alors une boucle d’un côté, puis faites passer la boucle voisine dedans, et ainsi de suite, jusqu’à ne laisser qu’une seule boucle libre. Celle-ci vous servira par exemple pour accrocher votre tawashi dans la cuisine ou pour le tenir.
Si malgré ce tuto, certaines étapes ne vous semblent pas très limpides, vous pouvez toujours consulter une vidéo en ligne. Vous comprendrez alors mieux de quelle manière passer les bandes de tissu et avec quelle intensité serrer les boucles, pour réaliser votre éponge maison zéro-déchet en quelques minutes, sans que cela vous donne du fil à retordre ;) !
Faire ses pastilles de lave-vaisselle maison
Fabriquer des pastilles pour lave-vaisselle chez soi, encore une lubie des fans du DIY ? En réalité, il y a plusieurs avantages à choisir cette option, mais encore faut-il savoir quels ingrédients utiliser et quelle recette suivre. Puisqu’on est de bonne humeur, on va vous donner notre avis sur le sujet et nos astuces pour votre futur atelier “préparation de tablettes lave-vaisselle maison”.
Pourquoi se lancer dans la fabrication de pastilles de lave-vaisselle ?
Comme avec beaucoup de recettes DIY (liquide vaisselle, lessive, liquide de rinçage, produit multisurface pour le ménage, etc.), les mêmes arguments reviennent pour en faire la promotion : moins de plastique, moins de dépenses et moins d’ingrédients chimiques et/ou controversés.
Adopter une démarche zéro déchet
Ce n’est pas un scoop : la très grande majorité des capsules et tablettes de lave-vaisselle conventionnelles (ou même bio) sont conditionnées individuellement dans un emballage plastique. Certes, il fond une fois dans l’appareil, et on le présente parfois comme “biodégradable” (bien que l’usage de ce terme soit désormais interdit), mais le plastique est bien présent et finit sa course dans les canalisations et les eaux usées. Il vaut donc mieux privilégier des doses de produit vaisselle sans film ou avec un film sans danger pour l’environnement.
Parfois, c’est même la boîte elle-même qui est en plastique. Pour faire sa vaisselle de façon plus écologique, il est alors préférable de choisir un emballage carton ou du fait maison.
Faire des tablettes de lave-vaisselle maison, c’est effectivement pouvoir tendre vers du zéro déchet en évitant ces emballages plastiques. Les recettes requièrent en effet des produits qui peuvent être vendus dans des contenants en carton, en verre, ou mieux encore, en vrac. Et une fois les pastilles prêtes, il suffit de les conserver telles quelles dans un bocal, sans avoir besoin de suremballage.
Faire des économies sur ses produits ménagers
Avez-vous déjà calculé combien vous coûtent vos tablettes de lave-vaisselle chaque année ? Faites-le, et réalisez ensuite un comparatif avec les produits dont vous aurez besoin pour des pastilles maison. Vous verrez que vous économiserez plusieurs centimes à chaque lavage, et donc potentiellement des dizaines d’euros par an. Pas énorme nous direz-vous, mais c’est toujours bon à prendre !
Éviter les substances potentiellement nocives pour la santé et la planète
Comme dans beaucoup de produits d’entretien conventionnels, les tablettes de lave-vaisselle du commerce peuvent contenir une longue liste de substances dont le caractère écologique et sain est plus que discutable. Avec la pastille faite maison, l’avantage est que vous maîtrisez la composition, et que vous ne pouvez utiliser que des ingrédients d’origine naturelle.
Comment faire ses propres tablettes pour lave-vaisselle ?
Venons-en à la pratique : la recette pour confectionner vos pastilles de lave-vaisselle. D’abord, listons les ingrédients, avec à dose égale (comptez 60 grammes de chaque pour environ 20 tablettes) :
- des cristaux de soude, pour leurs propriétés anti-calcaire, et donc anti-traces, et dégraissantes ;
- du bicarbonate de soude, pour réduire la dureté de l’eau (anti-traces), nettoyer, etc. ;
- de l’acide citrique, anti-calcaire et détachant ;
- du gros sel, qui permet lui aussi de nettoyer la vaisselle et d’obtenir une eau avec une plus faible teneur en calcaire.
Ensuite ? Mélangez l’ensemble de ces poudres et cristaux, et ajoutez petit à petit de l’eau. Une fois que le mélange se solidifie et vous permet de former une pâte, il est temps de former vos pastilles. L’astuce la plus couramment utilisée est de prélever un peu de la poudre obtenue avec une cuillère à soupe ou à café, puis de la placer dans un bac à glaçons. Tassez ensuite avec le dos de la cuillère, pour qu’une fois prise, la poudre forme une tablette compacte.
Il faut ensuite laisser sécher pendant une journée, puis les pastilles peuvent être retirées du bac à glaçons, et stockées dans un bocal en verre par exemple.
Et pour l’utilisation ? Vos pastilles maison fonctionnent de la même manière que des pastilles classiques : placez une dose dans le compartiment dédié et lancez le cycle de lave-vaisselle.
Les pastilles faites maison sont-elles aussi efficaces ?
Comme pour une recette de lessive au savon de Marseille ou un adoucissant naturel au vinaigre blanc, la question de l’efficacité des tablettes maison se pose. Peut-on vraiment atteindre les mêmes performances que des pastilles du marché lorsque l’on utilise uniquement de l’acide citrique, des cristaux de soude, du bicarbonate de soude et du gros sel ? La réponse est en demi-teinte. Certes, votre pastille maison va nettoyer la vaisselle, mais il se peut qu’elle ne soit pas 100 % efficace sur des taches incrustées. Il se peut aussi que vous ayez besoin de faire quelques ajustements pour disposer d’une efficacité optimale, surtout si vous aviez l’habitude d’utiliser des pastilles tout-en-un (choix du type de cycle de lavage, quantité de vaisselle dans l’appareil, fréquence de remplissage du compartiment de liquide de rinçage, etc.).
Mais d’où vient cette différence ? En réalité, comme pour la lessive liquide ou la lessive en poudre par exemple, les fabricants utilisent des produits bien spécifiques pour les pastilles de lave-vaisselle, qui ne sont pas forcément accessibles au grand public. Trouver la bonne recette nécessite aussi beaucoup de recherches et un dosage précis, qu’il n’est pas vraiment possible d’obtenir avec une préparation que l’on fait à la maison.
Et si vous adoptiez les pastilles clean de SPRiNG ?
Si vous souhaitez allier l’efficacité et une composition sans matières controversées, sans avoir à tester plusieurs recettes de pastilles DIY, on a la solution : notre tablette lave-vaisselle tout-en-un. En quoi est-elle différente des autres ? Elle contient tous les ingrédients nécessaires pour être efficace sans laisser de traces, mais pas de matières controversées. Et puisqu’une tablette SPRiNG est particulièrement concentrée, elle nécessite moins de matières premières pour obtenir le produit fini.
Sans oublier le conditionnement de nos pastilles : elles vous sont livrées dans une boîte en carton, avec 35 doses entourées d’un film entièrement hydrosoluble.
Dernier bonus : si vous vivez dans une région peu calcaire, l’utilisation de nos tablettes vous dispense de l’utilisation de sel régénérant et de liquide de rinçage. En revanche, n’oubliez pas l’entretien régulier de votre lave-vaisselle si vous voulez qu’il conserve ses performances et qu’il dure longtemps. Nettoyez régulièrement la cuve, le filtre, les bras de lavage, les joints, etc., à l’aide de vinaigre blanc ou d’un produit polyvalent pour le ménage.
Comment sont fabriquées les éponges ?
Accessoire incontournable pour faire la vaisselle, nettoyer la cuisine et la salle de bain ou encore pour l’hygiène corporelle, les éponges sont des produits que l’on utilise dans la vie quotidienne. Et pourtant, on ne sait pas toujours de quoi elles se composent.
Entre l’éponge naturelle et l’éponge synthétique, la version jetable et la version lavable, il y a en réalité une multitude de méthodes de fabrication. Et toutes les éponges n’ont pas la même durée de vie ni le même impact sur l’environnement. On vous en dit plus sur les matériaux et les procédés de fabrication des éponges (on sait que vous rêviez de devenir incollable à ce sujet !).
L’éponge animale : l’éponge originelle et naturelle
À l’origine, l’éponge est une espèce animale, que l’on retrouve dans presque tous les mers et océans du monde. Du fait de leur pouvoir d’absorption naturelle, elles sont utilisées depuis de nombreux siècles pour le nettoyage ménager et l’hygiène.
Avant d’obtenir l’éponge telle qu’on la connait dans nos foyers, il faut passer par plusieurs étapes. D’abord, il faut savoir que ce sont les squelettes des éponges marines qui sont utilisées. Ensuite, plusieurs types de traitements peuvent être appliqués, afin de les rendre plus molles et adaptées à l’utilisation que l’on en a.
Si l’on part d’un produit naturel (un animal, CQFD), il faut donc le faire passer par plusieurs traitements chimiques. Sans compter que les défenseurs de la cause animale ne sont clairement pas en faveur de l’utilisation de ce type d’éponge.
Les éponges végétales : d’autres alternatives naturelles
Dans un souci d’économie, de protection des animaux ou encore pour disposer d’un produit plus résistant, on a vu se développer les éponges végétales. Certaines d’elles sont désormais très populaires, comme l’éponge konjac, particulièrement appréciée pour sa douceur et donc idéale pour l’hygiène des bébés, mais aussi des enfants et des adultes. Comment la fabrique-t-on ? À partir de la racine de la plante asiatique qu’est la Konjac, réduite en poudre, puis mélangée à de l’eau, avant d’être solidifiée et de passer par plusieurs traitements thermiques.
Un autre végétal couramment utilisé pour confectionner des éponges est le luffa, une plante grimpante qui vient d’Afrique et d’Asie. C’est à partir du fruit que l’on fabrique l’éponge : on le laisse sécher, puis on extrait les graines et la pulpe, pour ne conserver ensuite que la partie fibreuse qui servira d’éponge. Avec un peu de motivation, vous pouvez donc confectionner vous-même vos éponges luffa, en les cultivant et en les récoltant à la maison ! Elles sont surtout utilisées pour faire la vaisselle ou le ménage, mais peuvent également être de bons exfoliants pour la peau.
On retrouve également de plus en plus d’éponges fabriquées à partir de végétaux non traités et/ou sans agents chimiques, tels que le lin, le bambou, le coton bio, la toile de jute, etc. Elles peuvent ainsi disposer d’une face absorbante et d’une autre face abrasive, en fonction des matières utilisées. Ce genre d’éponge est généralement lavable et réutilisable, et fait donc partie des accessoires zéro déchet incontournables.
L’éponge artificielle : végétale, mais parfois avec des additifs
L’éponge végétale à base de cellulose (provenant du bois et du coton) est la version la plus classique, celle que l’on retrouve majoritairement dans les rayons des magasins. Il s’agit bien d’une éponge d’originale végétale au départ, mais qui nécessite des traitements chimiques pour obtenir le produit final, et bien souvent d’autres fibres, ainsi que du sel pour créer artificiellement les trous de l’éponge.
Heureusement, il existe aussi des éponges artificielles qui sont conçues sans colorant et avec un maximum d’ingrédients d’origine naturelle, comme les éponges SPRiNG. Et si vous avez à cœur de préserver l’environnement à votre manière, notamment via le zéro déchet, ce type d’éponge est une bonne solution lorsqu’elle est proposée en version lavable. Lavable, vous dites ? Oui, il suffit de la passer en machine ou au lave-vaisselle selon les recommandations du fabricant, et elle sera de nouveau (presque) comme neuve.
L’éponge synthétique : la pétrochimie au cœur du processus de fabrication
Parmi les éponges les moins coûteuses et les plus résistances, il y a également celles fabriquées à partir de produits de synthèse, dérivés du pétrole. Rien qu’à la lecture de ces éléments, on comprend bien que les éponges synthétiques n’ont rien d’écologique, qu’elles sont potentiellement nocives pour la santé, et elles sont en plus jetables. Autrement dit, après quelques semaines d’utilisation, il n’y a qu’une seule issue : la poubelle. Elles restent toutefois très utilisées, notamment du fait de leur prix et de leur efficacité.
L’éponge tawashi : un produit DIY à base de tissu
Dans la tendance zéro déchet et récup’ qui gagne du terrain en France, une autre forme d’éponge DIY commence à voir le jour : l’éponge tawashi. Vous n’en avez jamais entendu parler ? Sa fabrication vous demandera un peu de temps, mais cette éponge a l’avantage d’être économique et écologique, car elle peut se fabriquer à la maison avec du tissu de récupération. Chaussettes trouées, t-shirt délavé ou encore robe devenue trop petite : il est possible d’utiliser tous types de vêtements et de linge pour faire une tawashi. Il vous faudra alors fabriquer un petit métier à tisser maison, puis suivre les conseils que vous trouverez sur notre page dédiée à l’éponge tawashi ou via des tutos en ligne.
C’est un type d’éponge qui convient pour le ménage dans toute la maison : pour nettoyer la salle de bain, pour faire les vitres, pour faire la vaisselle, etc. En somme, elle a les mêmes usages qu’une éponge classique, à cela près qu’elle est plus durable, dans les deux sens du terme. Durable sur le plan environnemental, parce qu’elle est issue de tissu qui était destiné à la poubelle, et durable sur le plan de la durée de vie, car elle est facilement lavable en machine et réutilisable.